Le cachemire : un territoire au cœur des rivalités stratégiques en asie

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Le 22 avril 2025, un groupe armé a perpétré un attentat dans la région touristique de Pahalgam, partie du territoire de Jammu-et-Cachemire administré par l’Inde, tuant 26 personnes. En


représailles, dans la nuit du 7 mai, les Forces armées indiennes ont mené une opération militaire baptisée « Opération Sindoor ». Cette offensive visait à détruire les infrastructures « 


terroristes » situées sur le territoire pakistanais, ainsi que dans la région du Cachemire sous contrôle pakistanais. Selon les sources officielles, l’objectif était de neutraliser les


capacités opérationnelles des groupes qui planifient et exécutent des attaques transfrontalières contre l’Inde. Pour justifier son offensive, le gouvernement indien a ouvertement accusé les


autorités pakistanaises d’être de connivence avec les groupes responsables du « terrorisme » dans la région. Le Premier ministre indien a durci sa rhétorique, lançant des menaces explicites


contre Islamabad, rappelant à beaucoup le précédent de 2019 : à cette occasion, l’aviation indienne avait bombardé le territoire pakistanais après un attentat-suicide à la voiture piégée qui


avait tué quarante paramilitaires indiens au Cachemire. Ces affrontements récents ne témoignent pas seulement du conflit territorial persistant entre l’Inde et le Pakistan, mais ravivent


également un conflit de longue date aux profondes racines historiques, religieuses et géopolitiques. Dans cet article, nous nous proposons de retracer les origines du conflit au Cachemire et


d’analyser son évolution et son inscription dans un contexte régional changeant, marqué par l’importance stratégique croissante de l’axe Asie-Pacifique et l’affaiblissement progressif de


l’hégémonie américaine sur la scène mondiale. Ainsi, la région devient un point critique où convergent rivalités nationales, tensions transfrontalières et dynamiques internationales plus


larges. GENÈSE DU CONFLIT INDO-PAKISTANAIS La région du Cachemire est devenue, depuis le milieu du XXe siècle, l’un des territoires les plus disputés de la planète. Plus de soixante-dix ans


après la partition des colonies britanniques dans le sous-continent indien, le différend entre l’Inde et le Pakistan continue d’être l’épicentre d’affrontements armés, de tensions


diplomatiques et d’opérations de répression tandis que les aspirations à l’autodétermination de la part de sa population s’inscrivent désormais dans un contexte mondial marqué par de


nouvelles tensions et une vague de militarisation d’ampleur mondiale. L’origine du conflit remonte à 1947, lorsque l’Empire britannique s’est retiré d’Asie du Sud. Dans le cadre de sa


politique impérialiste, il a décidé de créer deux États indépendants à partir de revendications religieuses : l’Inde, à majorité hindoue, et le Pakistan, conçu comme patrie des musulmans.


Cependant, la principauté de Jammu-et-Cachemire a été laissée de côté, une région à majorité musulmane gouvernée par un maharaja hindou. Le dirigeant du Cachemire choisit alors de s’unir à


l’Inde du fait de la pression militaire pakistanaise, ce qui déclencha le premier conflit entre les deux pays. Pour comprendre le conflit au Cachemire, il est fondamental de saisir le rôle


du colonialisme britannique dans le sous-continent indien. Pendant sa domination, l’Empire mit en œuvre des politiques qui divisaient la population selon des critères religieux et ethniques,


promouvant des identités séparées et attisant les tensions internes pour asseoir son pouvoir. La division des confessions a été une manœuvre de l’impérialisme et du nationalisme hindou et


musulman, représentés par le Parti du Congrès et la Ligue musulmane, pour détourner et affaiblir le mouvement de libération nationale qui avait uni hindous, musulmans et autres communautés


dans la lutte contre le colonialisme. En établissant de manière artificielle deux États sur des bases religieuses, les divisions se consolidèrent, fracturant l’unité de classe entre


travailleurs et paysans du sous-continent. Par conséquent, la création de l’Inde et du Pakistan en 1947 ne répondit pas à un processus authentique d’autodétermination des peuples, mais a


été, en grande partie, une issue négociée entre les élites locales et le pouvoir colonial britannique, qui cherchait à préserver son influence dans la région même après avoir octroyé une


indépendance formelle aux territoires occupés. Ainsi, la partition n’a ainsi pas simplement été responsable du déplacement brutal de millions de personnes, mais a servi aux puissances


impérialistes à maintenir leur influence dans la région. Depuis lors, l’Inde et le Pakistan se sont livrés trois guerres pour le contrôle du Cachemire (1947, 1965 et 1999) tandis que des


dizaines d’affrontements frontaliers ont eu lieu, attisant la course aux armements, qui a franchi un nouveau seuil lorsque les deux pays se dotèrent de l’arme nucléaire – actuellement,


l’Inde possède la quatrième armée en termes de taille et de pouvoir de destruction au niveau mondial, tandis que le Pakistan se trouve au douzième rang. Aujourd’hui, le Cachemire est


traversé par la soi-disant « Ligne de contrôle ». L’Inde contrôle la majeure partie du territoire (jusqu’en 2019, les actuels territoires de Jammu-et-Cachemire avec le Ladakh formaient une


seule province), tandis que le Pakistan administre la zone nord-ouest (Azad Kashmir et Gilgit-Baltistan). À son tour, la Chine occupe les territoires de l’Aksai Chin et de la vallée de


Shaksgam que l’Inde revendique également. Malgré cette répartition, ni l’Inde ni le Pakistan ne renoncent à leur revendication sur la totalité du territoire. Le Cachemire n’oppose pas


seulement deux États en conflit. Au fil des décennies, une forte identité locale s’est développée et des mouvements indépendantistes ont émergé, qui revendiquent le droit à


l’autodétermination pour la population cachemirie. Ces mouvements ont été durement réprimés, particulièrement par l’Inde, qui maintient une présence militaire massive dans la région.


Cependant, les directions de ce mouvement ont été à d’innombrables reprises instrumentalisées par le Pakistan et alignent leur agenda politique sur les intérêts réactionnaires d’Islamabad.


Sans l’émergence d’un mouvement de masse, indépendant des trois puissances occupantes, l’émancipation du Cachemire continuera d’être entravée. LE CACHEMIRE DANS LES RIVALITÉS STRATÉGIQUES


ASIATIQUES Au cours des dernières décennies, l’Asie-Pacifique est devenue un axe central de l’économie mondiale, stimulée en grande partie par l’installation de capitaux occidentaux dans la


région et l’implantation d’usines étrangères. Ce phénomène ne s’est pas limité à la Chine ni aux « tigres asiatiques », mais a également touché d’autres économies émergentes, dont l’Inde qui


se distingue par sa croissance soutenue, bien que le pays connaisse de profondes inégalités internes alors que plus de 20 % de la population vit dans l’extrême pauvreté avec moins d’un


dollar par jour. Cette croissance l’a positionnée comme un acteur clé sur la scène économique, régionale aussi bien que mondiale. Une expansion qui entre en collision avec les intérêts et


les objectifs de projection de puissance de l’autre puissance continentale : la Chine. Malgré leur appartenance commune aux BRICS, les deux nations sont en compétition pour le leadership


régional en Asie. Tandis qu’elles coopèrent dans les instances mondiales, elles entretiennent une rivalité géopolitique au niveau régional dans un monde de plus en plus convulsif. L’accès


aux routes commerciales et aux points stratégiques du littoral asiatique ainsi qu’aux ressources énergétiques est au cœur de cette confrontation. La Chine a développé depuis le début du XXIe


siècle sa stratégie connue sous le nom de « Collier de perles ». Nommée ainsi dans un document interne du Département d’État américain, cette doctrine vise à établir un réseau de ports et


de bases navales qui couvrent les points clés de l’océan Indien tout en signant des traités commerciaux avec un certain nombre d’États. L’État chinois a ainsi établi des bases de la mer de


Chine méridionale jusqu’au golfe Persique, qui lui permettent de se connecter à l’Afrique et l’Europe. Les ports de Gwadar au Pakistan, Hambantota et Colombo au Sri Lanka, Chittagong au


Bangladesh et Djibouti en Afrique sont quelques-uns des « nœuds » de ce collier. L’Inde, pour contrer l’expansion chinoise, a répondu avec la stratégie du « Collier de diamants », ainsi que


la nomme le gouvernement, qui vise à faire contrepoids en investissant des points stratégiques par le biais d’alliances et d’accords de défense avec des pays qui rivalisent avec la Chine.


Par exemple, elle a signé des accords navals avec Singapour (base de Changi), l’Indonésie (port de Sabang) et Oman (port de Duqm). En parallèle, elle maintient actuellement des projets


conjoints sur l’île de l’Assomption aux Seychelles et a développé le port de Chabahar en Iran, dans l’objectif d’établir des liens avec l’Afghanistan et l’Asie centrale sans passer par le


Pakistan. En plus de sa présence navale – l’Inde développe actuellement une flotte de sous-marins nucléaires à l’horizon 2030 – l’Inde a approfondi ses relations diplomatiques et économiques


avec des pays avec lesquels la Chine a des relations tendues. Elle a accru sa coopération avec le Japon, le Vietnam et la Mongolie, et a développé le Corridor de croissance Asie-Afrique


avec Tokyo. De la même manière, le Premier ministre Narendra Modi a été le premier chef de gouvernement indien à visiter simultanément les cinq pays d’Asie centrale, doublant le volume des


flux commerciaux entre l’Inde et cette région. La compétition entre l’Inde et la Chine a également une dimension technologique et militaire. Tandis que la Chine a augmenté ses


investissements dans le domaine de la défense et domine des secteurs clés comme l’industrie des semi-conducteurs, l’Inde cherche à moderniser ses forces armées avec l’aide des États-Unis et


d’Israël et a commencé à diversifier ses fournisseurs – comme en atteste l’achat de 26 chasseurs Rafale au constructeur français Dassault, début de 2025 – bien qu’elle dépende encore en


grande partie de la Russie (environ 75 % de son armement provient de ce pays). Dans ce contexte, le rôle du Pakistan est fondamental. La Chine a consolidé son alliance avec Islamabad non


seulement pour des raisons historiques qui s’expliquent par sa compétition avec l’Inde, mais aussi en raison de sa situation stratégique. Le Corridor économique Chine-Pakistan, qui fait


partie du projet des « Nouvelles routes de la Soie » (ou « Initiative Ceinture et Route »), inclut la construction d’autoroutes, de plusieurs chemins de fer et de gazoducs qui connectent la


région occidentale de la Chine avec le port de Gwadar. Cette alliance permet à la Chine d’éviter les « goulots d’étranglement » comme le détroit de Malacca ou le détroit de Taïwan, par où


passe 30 % du pétrole que consomment les industries chinoises et de mettre en place des routes alternatives pour sécuriser ses importations énergétiques. Face à cette nouvelle donne


géopolitique, les États-Unis ont modifié leur axe d’alliances dans la région Asie-Pacifique. Après des décennies de coopération avec le Pakistan, particulièrement pendant la guerre en


Afghanistan, ils se sont tournés vers l’Inde comme principal partenaire dans l’Indopacifique. Cette alliance se traduit par des accords militaires, une coopération technologique et un


soutien diplomatique dans les forums multilatéraux, qui renforce le rôle de contrepoids que joue l’Inde face à la Chine. Dans cette situation, la région du Cachemire ne représente pas


seulement un enjeu majeur du fait de son histoire, mais également en raison de sa situation géostratégique. Contrôler la région permet de bénéficier d’un point de passage clef vers l’Asie


centrale et de jouir d’une position privilégiée face à la Chine et au Pakistan. Ainsi, le différend territorial s’inscrit aujourd’hui dans une compétition majeure entre puissances émergentes


pour le contrôle de l’Asie. LE CACHEMIRE ET LE LITHIUM : LES NOUVEAUX ENJEUX DES RESSOURCES STRATÉGIQUES Outre sa valeur symbolique et géostratégique, le Cachemire acquiert une nouvelle


importance du fait de la compétition entre puissances pour la maîtrise de nouvelles sources d’énergie. La région est riche en ressources naturelles et, récemment, de riches gisements de


lithium ont été identifiés, un minéral fondamental pour la fabrication de batteries électriques et de technologies dites « propres ». En février 2023, le Service géologique de l’Inde a


confirmé l’existence d’importants gisements de lithium dans le district de Reasi, dans la région de Jammu-et-Cachemire. Les estimations préliminaires parlent de 5,9 millions de tonnes, ce


qui ferait de l’Inde l’un des pays qui disposent des plus grandes réserves de ce minéral essentiel. C’est un composant central des batteries lithium-ion utilisées dans les véhicules


électriques, les dispositifs électroniques et les systèmes de stockage d’énergie renouvelable. Alors que l’économie mondiale tente de trouver de nouvelles sources d’énergies ; d’aller


au-delà des combustibles fossiles et de développer de nouvelles technologies, la demande de lithium a explosé. Selon l’Agence internationale de l’énergie, elle pourrait augmenter par un


facteur 40 d’ici 2040. Sur l’échiquier mondial, au XXIe siècle, la présence de lithium au Cachemire transforme la dimension du conflit. Il ne s’agit plus seulement d’un différend politique


ou identitaire mais aussi d’une lutte pour le contrôle de ressources stratégiques. La région, que traversent plusieurs cours d’eau dont les affluents du fleuve Indus – très importants pour


l’agriculture dans la région pakistanaise du Pendjab et dont les sources se situent en amont de barrages contrôlés par l’Inde qui n’hésite pas à les utiliser comme une arme dans son conflit


avec le Pakistan –, riche en minéraux et maintenant aussi en lithium, devient un point d’intérêt non seulement pour les deux États, mais aussi pour les puissances étrangères qui souhaitent


sécuriser leur approvisionnement en minéraux critiques. L’un des gestes les plus significatifs du gouvernement indien a été la révocation de l’Article 370 de sa Constitution en août 2019.


Cette législation accordait au Jammu-et-Cachemire un statut spécial avec un certain degré d’autonomie. En suspendant cet article, le gouvernement central a pris le contrôle direct de la


région, en levant les restrictions légales qui empêchaient les entreprises étrangères d’investir ou d’acquérir des terres sur le territoire. Au même moment Khanij Bidesh India Limited


(KABIL) a été créée : il s’agit d’une entreprise d’État qui a pour objectif d’acquérir des minéraux stratégiques à l’étranger et dans le pays. KABIL exporte des matières premières en


Argentine et dans d’autres pays latino-américains. La découverte de lithium au Cachemire représente ainsi une opportunité stratégique pour l’approvisionnement interne de l’Inde. Le lithium


est devenu l’une des ressources les plus convoitées du XXIe siècle, et sa présence au Cachemire pourrait modifier encore davantage la dynamique du conflit. Le contrôle de ces ressources


octroie des avantages non seulement sur le plan économique, mais aussi géopolitique, dans un monde où les ressources pétrolières se trouvent en voie d’épuisement, ce qui implique que leur


extraction requiert de plus en plus d’investissements. Tant l’Inde que la Chine ont un intérêt stratégique à sécuriser l’accès et l’exploitation de ces minéraux. L’Inde, qui aspire à devenir


un leader dans la production de véhicules électriques pourrait bénéficier énormément du développement de ces réserves. De son côté, la Chine, qui domine déjà une grande partie du marché


mondial du lithium, pourrait considérer cette zone comme un point de plus sur sa carte d’intérêts critiques. ENJEUX CONTEMPORAINS Ce dernier affrontement entre l’Inde et le Pakistan


s’inscrit ainsi dans une phase de reconfiguration de l’ordre international, caractérisée par le déclin progressif de l’hégémonie américaine et l’émergence de nouvelles puissances. Ces


dernières années, nous avons assisté à l’émergence de la Chine comme concurrent mondial des États-Unis. Elle a notamment fait une alliance stratégique avec la Russie et s’est rapprochée


d’autres acteurs opposés à l’Occident — comme l’Iran, la Corée du Nord et le Venezuela. Parallèlement, les puissances intermédiaires du « Sud Global » — comme la Turquie et l’Indonésie, et


nous pourrions inclure l’Inde — ont commencé à exercer un rôle plus actif dans leurs régions, cherchant à influer sur les dynamiques mondiales selon leurs propres intérêts. Le déclin de


l’hégémonie étasunienne s’exprime ainsi en Asie de façon contradictoire, ce qui affecte l’Inde en tant qu’allié régional. La recherche d’un cessez-le-feu rapide témoigne de la nécessité,


pour les États-Unis, d’éviter d’ouvrir un nouveau front, alors que les négociations avec l’Iran sont en cours. Mais elle a sapé l’autonomie stratégique de l’Inde dans un conflit qu’elle a


toujours cherché à résoudre de façon bilatérale sans intervention étrangère. Un coup qui rappelle la tentative des États-Unis de réaffirmer leur présence dans des zones traditionnellement


sous influence indienne, en 2019, avec l’opération « Liberté de navigation » dans l’océan Indien. Cependant, l’impérialisme américain a besoin de l’appui de l’Inde dans le cadre de la


compétition stratégique avec la Chine. La rencontre entre Trump et Modi en fournit la démonstration alors que les deux pays ont conclu de nombreux accords dans des domaines stratégiques. Il


reste à voir si la politique tarifaire du gouvernement Trump, dans le cadre de la reconstruction de l’hégémonie américaine par le commerce bilatéral, l’emporte sur la consolidation des


relations avec l’Inde, qui lui permet de servir de contrepoids face à la Chine. Pour l’heure, le cessez-le-feu négocié par Washington a sans doute été obtenu sous la pression, contraignant


l’Inde à renoncer aux hostilités avec le Pakistan par des menaces tarifaires, en pleine période de négociations commerciales. Cette diplomatie transactionnelle a révélé la subordination


croissante de l’Inde aux priorités stratégiques de l’impérialisme américain, ainsi que les limites de ses prétentions en tant que puissance régionale. Comme nous l’avons indiqué au début de


cet article, la question de l’autodétermination du Cachemire s’inscrit dans les conflits engendrés par le retrait du colonialisme britannique dans la région. Au cœur de cette confrontation,


des millions de personnes voient leur sort suspendu aux décisions de forces réactionnaires telles que les gouvernements de l’Inde et du Pakistan, ou encore de puissances comme les États-Unis


et la Chine. Aucune de ces forces ne défend les intérêts de la classe ouvrière ni des secteurs opprimés de la région. Aussi bien l’Inde que le Pakistan poursuivent une même politique


oppressive à l’égard des territoires qu’ils contrôlent. L’autodétermination du peuple cachemiri ne pourra se concrétiser que par l’unité de la classe ouvrière indienne et pakistanaise, aux


côtés des secteurs exploités et opprimés de la région. Une telle perspective permettrait non seulement de garantir un véritable droit à l’autodétermination, mais aussi de jeter les bases


d’une lutte commune contre l’ingérence des puissances régionales et impérialistes.


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