La nouvelle phase du génocide à gaza et le labyrinthe stratégique de netanyahou

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Le 15 mai 2025 marquera un nouvel anniversaire de la Nakba, le nettoyage ethnique de la Palestine perpétré par l’État d’Israël au moment de sa naissance. Soixante-dix-sept ans après cette « 


catastrophe » originelle – un crime qui s’est prolongé dans le temps en raison de l’occupation coloniale –, la situation du peuple palestinien est désespérée. Après un bref et fragile


cessez-le-feu, le 2 mars, le gouvernement de Benjamin Netanyahou a relancé son offensive brutale à Gaza, un véritable génocide retransmis en direct et exécuté avec l’assistance militaire,


économique et diplomatique des principaux alliés de l’État sioniste : les États-Unis et les puissances européennes. En dix-huit mois, l’armée israélienne a tué plus de 52 000 Gazaouis –


parmi lesquels environ 18 000 enfants –, bien que la revue _The Lancet_, qui suit la situation à Gaza, estime que ce chiffre pourrait être au moins deux fois plus élevé. La guerre


génocidaire s’est étendue à la Cisjordanie, où des dizaines de milliers de Palestiniens ont été déplacés sous le feu croisé de l’armée israélienne et des milices de colons armés. Comme le


montrent _No Other Land_ (le documentaire primé aux Oscars) ou, plus récemment, _The Settlers_ (qui s’inscrit en quelque sorte dans la continuité du documentaire _Ultra Zionist_ de Louis


Theroux sur la Cisjordanie), les attaques violentes contre la population palestinienne, ses logements et ses terres, qui accompagnent l’extension des colonies, ont commencé bien avant


octobre 2023. Elles font partie d’un plan d’annexion du territoire dont les ministres du gouvernement Netanyahou parlent publiquement. Cependant, avec la guerre à Gaza, la colonisation de la


Cisjordanie est entrée dans une nouvelle phase, avec la collaboration scandaleuse de l’Autorité palestinienne. UNE NOUVELLE PHASE DU GÉNOCIDE Selon une enquête du _New York Times_, les rues


de Cisjordanie – territoire palestinien occupé par Israël – ressemblent de plus en plus à celles de Gaza : des maisons réduites en ruines, des murs criblés d’impacts de munitions lourdes,


la présence de bulldozers, etc. L’une des zones les plus touchées est Jénine, d’où 40 000 Palestiniens ont été exilés – le plus grand transfert de population depuis 1967, lorsque Israël a


pris le contrôle de ce territoire. Et cela, sans compter les quelque 9 500 prisonniers palestiniens détenus dans des conditions extrêmement dures, dont beaucoup sont soumis à la torture. Si


ce génocide a été financé et soutenu par l’ancien président Joe Biden (et constitue l’un des facteurs qui expliquent la défaite des Démocrates), le nettoyage ethnique de la Palestine,


version XXIᵉ siècle, a reçu un fort appui de la Maison Blanche, lorsque le président américain Donald Trump, aux côtés de Netanyahou, a « proposé » de transformer Gaza en station balnéaire


de luxe, une fois que l’armée israélienne aurait fini le sale travail et achevé de déplacer les deux millions de Gazaouis vers l’Égypte ou la Jordanie. Bien que Trump ait rapidement


abandonné son projet immobilier face à l’opposition des alliés arabes des États-Unis et à la perplexité des analystes et stratèges militaires, sa conférence de presse a été perçue par les


promoteurs du « Grand Israël » comme un feu vert. Les ministres issus des partis religieux d’extrême droite, alliés de Netanyahou, évoquent publiquement la mise en œuvre d’une sorte de « 


_solution finale_ » : un plan macabre combinant diverses formes d’extermination et de « _transferts forcés_ » de la population palestinienne afin d’occuper et de recoloniser Gaza. Autrement


dit, Israël cherche à élargir encore ses opérations et ses crimes de guerre. Il ne s’agit plus simplement de bombarder, d’occuper militairement ou de dévaster jusqu’à rendre toute vie


impossible pour les Palestiniens. Il s’agit surtout d’imposer un blocus total, et plus encore, d’utiliser de manière planifiée la famine comme arme de guerre. Depuis le 2 mars, date à


laquelle l’État sioniste a rompu le cessez-le-feu, Gaza est sous un blocus total et la population est privée de tout accès à l’aide humanitaire et vit pratiquement sans eau, sans


électricité, sans hôpitaux, sans fournitures de base. Les ministres israéliens n’ont pas inventé la poudre en utilisant la faim comme arme de guerre, mais ils revendiquent publiquement


l’utilisation de ce procédé pervers. L’un des partisans les plus brutaux du génocide est sans doute le ministre du Patrimoine du gouvernement Netanyahou, Amichai Eliyahu, qui a déclaré lors


d’un entretien qu’il fallait bombarder les réserves de nourriture et de carburant à Gaza et affamer la population pour qu’elle accepte le « plan de migration ». Eliyahu s’était déjà fait


remarquer en appelant à larguer une bombe nucléaire sur Gaza au début de l’offensive. L’idéologue du plan de famine, désormais perfectionné par ces ingénieurs du génocide, est l’ex-ministre


de la Défense, Yoav Gallant. Rappelons que la Cour pénale internationale a émis un mandat d’arrêt contre Gallant et Netanyahou, accusés précisément d’utiliser la famine comme arme de guerre


et de commettre des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité. LES CONTRADICTIONS DE LA GUERRE GÉNOCIDAIRE EN COURS Pourtant, malgré la supériorité militaire d’Israël (rendue possible


par le soutien des États-Unis, de l’Allemagne, la France, le Royaume-Uni et d’autres puissances), le génocide et les tactiques les plus brutales utilisées contre la population palestinienne


n’ont pas permis à Netanyahou d’obtenir la « victoire totale » qu’il visait : l’éradication du Hamas et la récupération des otages par la force. La signature du cessez-le-feu, en grande


partie imposée par Donald Trump à la veille de son retour à la Maison-Blanche, constituait un aveu indirect de l’échec de ces objectifs. Les cérémonies d’échange de dizaines d’otages


israéliens contre des milliers de prisonniers palestiniens – transformées en actes de propagande politique par le Hamas – ont illustré l’échec de Netanyahou. Certes, le Hamas (et ses alliés


régionaux comme le Hezbollah, voire indirectement l’Iran) a été affaibli, mais il n’a pas été détruit en tant que force politico-militaire. Netanyahou n’a pas non plus obtenu l’« émigration


volontaire » des Palestiniens, qui sont revenus massivement dans leurs habitations malgré les destructions. Cela posait un dilemme au gouvernement de Netanyahou : si l’on avançait dans les


phases suivantes du cessez-le-feu, Gaza aurait pu revenir à une situation qui n’aurait pas été si différente de celle d’avant l’attaque du 7 octobre. Politiquement, ce cessez-le-feu mettait


par ailleurs en danger la coalition gouvernementale de Netanyahou et, par conséquent, sa propre liberté personnelle puisqu’il est jugé pour corruption. Ces contradictions, nées de l’échec de


la stratégie de l’État d’Israël, expliquent à la fois le cessez-le-feu et son effondrement, ainsi que le déclenchement d’une nouvelle phase de l’offensive militaire à Gaza, que certains


analystes qualifient déjà de « seconde guerre ». Le 5 mai, le cabinet de sécurité de Netanyahou a adopté un nouveau plan qu’il souhaite mettre à exécution une fois que Trump aura terminé sa


tournée au Moyen-Orient, à la mi-mai. S’il était appliqué – ce qui est très incertain –, il s’agirait d’un changement radical par rapport à la stratégie de la première phase de la guerre à


Gaza. L’opération baptisée « Chars de Gédéon » (l’État sioniste donne toujours une dimension biblique à ses massacres) prévoit l’occupation militaire de Gaza, le déplacement de la population


vers le sud et sa « _concentration_ », selon les mots de l’état-major, dans des camps, dans lesquels Israël confierait la distribution de l’aide alimentaire à des sociétés de sécurité


privées américaines, c’est-à-dire à des mercenaires. Pour mener à bien cette offensive, l’armée devra rappeler entre 60 000 et 100 000 réservistes, selon les sources militaires. Or, même sur


le papier, le plan présente plusieurs failles. D’abord, le chef d’état-major lui-même a reconnu que la stratégie d’annihilation – le « nettoyage » militaire et la mise en place de « zones


stérilisées » – contredisait l’objectif prioritaire de sauver les 24 otages supposés encore en vie parmi les 59 détenus par le Hamas. Ensuite, militairement, le plan va à l’encontre du


principe fondamental des guerres éclairs, car la force militaire d’Israël repose en grande partie sur la mobilisation des réservistes – c’est-à-dire des civils qui doivent abandonner leur


travail, leurs études, leurs familles pour servir dans l’armée, avec des conséquences directes sur la vie économique et sociale du pays. Après un an et demi d’opérations militaires et de


massacres, les signes de « fatigue de guerre » sont évidents. Dans un contexte d’élargissement des opérations vers le Liban et surtout la Syrie – où Israël intervient, au prétexte de


protéger la minorité druze, pour construire une zone tampon afin de sécuriser le Golan et de fragmenter le territoire –, l’armée semble dépasser ses capacités. Selon la revue +972, l’armée


israélienne fait face à la pire crise de refus d’incorporation des réservistes depuis la guerre du Liban de 1982. Bien que les chiffres exacts ne soient pas connus — les autorités militaires


veillant soigneusement à ce qu’ils ne filtrent pas —, plusieurs analystes, se basant sur les réseaux sociaux, les prises de position publiques et la présence effective dans les unités,


estiment que le taux de refus pourrait avoisiner les 40 à 50 %. Même selon des estimations prudentes, cela représenterait plus de 100 000 réservistes. À cela s’ajoute le fait que les


secteurs religieux sont exemptés du service militaire, une concession faite par Netanyahou à ses alliés issus du sionisme religieux. Les raisons de cette crise sont diverses, mais elle


reflète objectivement la perte de légitimité de la guerre auprès d’une partie importante de la population israélienne. En phase avec les familles des otages, une majorité réclame la fin de


la guerre et l’ouverture de négociations pour obtenir leur libération. D’après un sondage, publié fin mars, 69 % de la population soutient cette option, dont 54 % des électeurs de la


coalition au pouvoir. Deux motivations dominent : la priorité donnée à la libération des otages et le sentiment que Netanyahou cherche à prolonger la guerre et à l’étendre à d’autres fronts


pour assurer sa survie politique. En plus de son impopularité croissante, Netanyahou a profité de la recomposition de sa coalition pour avancer une réforme judiciaire très contestée et mener


une purge des services de renseignement et des commandements militaires non alignés sur ses intérêts – une sorte de version israélienne de l’offensive de Donald Trump contre le « _deep


state_ » aux États-Unis. Cette opposition se manifeste dans la rue, avec des mobilisations contre Netanyahou et ses alliés extrémistes, qui ont lieu, avec des niveaux de participation


variables, depuis le début de l’offensive à Gaza. Jusqu’ici, ces manifestations ne remettaient pas en question le massacre perpétré contre le peuple palestinien – à l’exception de petits


groupes. Cela commence à changer, surtout depuis l’effondrement du cessez-le-feu. Lors de la Journée de commémoration de la Shoah, plusieurs survivants et des centaines de manifestants ont


rompu le silence sur Gaza, défilant avec les photos d’enfants palestiniens assassinés par l’armée israélienne. Ce premier signe clair d’empathie pourrait indiquer le début d’un changement


plus profond. Sur le plan intérieur, Netanyahou tente de maintenir un équilibre précaire pour garder sa coalition unie, coalition qui le pousse chaque jour davantage à adopter une « solution


finale ». Sur le plan international, il est soumis aux aléas de la politique étrangère des États-Unis, principal allié de l’État d’Israël. Il ne fait aucun doute que Trump (comme toute


l’extrême droite, y compris dans ses versions néonazies) est plus proche idéologiquement et politiquement de Netanyahou, et que son retour à la Maison Blanche a encore renforcé les secteurs


d’extrême droite en Israël. Mais cela ne signifie pas que Netanyahou (et plus largement Israël) puisse dicter la politique américaine ou entraîner l’impérialisme dans des aventures


militaires contraires à ses intérêts. ISRAËL ET LA POLITIQUE ÉTRANGÈRE DE TRUMP Bibi semble avoir reçu plusieurs leçons pratiques sur la signification du slogan trumpiste « America First »,


qui règle la politique étrangère du nouveau président. Le président américain a en effet annoncé qu’il mettait fin aux attaques contre les Houthis au Yémen, après qu’ils ont accepté de


cesser de viser les navires commerciaux en mer Rouge – excluant Israël de l’accord, qui continue de subir les frappes de cette milice alliée de l’Iran. Pour Trump (comme pour Biden


auparavant), le principal problème géopolitique au Moyen-Orient reste l’Iran. Il en va de même pour Netanyahou, qui fait pression pour déclencher une guerre contre l’Iran avec l’appui des


États-Unis, afin de détruire ses capacités nucléaires. Mais les États-Unis ne veulent pas être entraînés dans une nouvelle guerre au Moyen-Orient, dont les conséquences pourraient être


ressenties bien au-delà de la région et porter un coup très dur à l’économie mondiale. C’est pourquoi Trump a entamé des négociations avec le régime iranien en dépêchant son envoyé


personnel, Steve Witkoff, bien que son gouvernement soit divisé. Les faucons (les anciens « néoconservateurs ») favorables à la ligne dure de Netanyahou semblent momentanément avoir été mis


en échec par le camp du vice-président Vance, qui préfère exercer une pression maximale grâce à des sanctions économiques et à des menaces militaires afin d’obtenir du régime iranien


affaibli qu’il accepte un accord dont les termes seront les plus favorables possibles aux intérêts américains. Le remplacement de Mike Waltz au poste de conseiller à la sécurité nationale


témoigne de ce rééquilibrage interne en faveur des « isolationnistes ». Il va de soi que tout accord viable va permettre à l’Iran de conserver une certaine capacité d’enrichissement de


l’uranium, ce que Netanyahou considère comme inacceptable. Dans les jours qui viennent, Trump entamera une tournée au Moyen-Orient. Il se rendra en Arabie saoudite, au Qatar et aux Émirats


arabes unis (mais pas en Israël), en se donnant pour objectif géopolitique de renforcer la coopération entre les États-Unis et ses alliés afin de garantir la stabilité régionale tout en


obtenant des promesses d’investissements massifs de la part des monarchies saoudienne et émiratie, en plus des accords pétroliers et de défense. À la grande surprise de Netanyahou, la Maison


Blanche a déjà indiqué qu’elle ne posait plus comme condition à l’Arabie saoudite la normalisation de ses relations avec Israël pour poursuivre les négociations au sujet de sa participation


au programme nucléaire civil du royaume. La prolongation de la guerre-génocide à Gaza, avec ses images de massacres, de destruction et de famine, compromet les plans de Trump d’intégrer


l’Arabie saoudite aux accords d’Abraham, car la monarchie saoudienne sait qu’elle ne peut pas se rapprocher d’Israël tant que l’État sioniste poursuit le génocide. Elle maintient l’exigence


d’une mention formelle d’un « État palestinien » pour conserver sa légitimité sur la scène intérieure et vis-à-vis des masses arabes. Cela expliquerait pourquoi Trump a adopté le plan d’aide


humanitaire israélien, rejeté par toutes les ONG, et pourquoi il fait pression pour qu’il soit accepté, sans doute dans le but de mettre à distance les États-Unis des images de la famine à


Gaza. Dans ce contexte, Netanyahou est confronté à un dilemme : il subit une forte pression et doit lancer l’opération « Chars de Gédéon » dans sa version extrême pour éviter que ses alliés


ne quittent le gouvernement au risque, cependant, de ne plus être aligné sur les intérêts de Washington. VERS UNE REPRISE DU MOUVEMENT INTERNATIONAL DE SOLIDARITÉ AVEC GAZA ? Le génocide à


Gaza, désormais perfectionné par l’arme de la faim, continue de saper la légitimité de l’État d’Israël à l’échelle internationale. Ce rejet généralisé s’exprime par l’émergence d’un


mouvement massif de solidarité avec le peuple palestinien, dont la jeunesse des grandes universités des pays occidentaux est le principal moteur. Ces mouvements, qui dénoncent non seulement


le génocide de Netanyahou mais aussi la complicité de leurs gouvernements dans le massacre du peuple palestinien, ont été violemment réprimés et ceux qui y participent sont sous le coup de


procédures d’expulsion ou de poursuites judiciaires pour soi-disant « antisémitisme ». Aux États-Unis, la répression se traduit par des menaces de déportation qui visent certains étudiants,


comme Mahmoud Khalil, et une attaque généralisée contre les universités, dont les directions cèdent face aux menaces du gouvernement qui est prêt à couper leur financement. Si l’on compare


ce mouvement de solidarité avec le mouvement contre la guerre du Vietnam, la répression actuelle rappelle le maccarthysme et attaque de manière inédite le droit de manifester et la liberté


d’expression. Cette vague de répression inclut en outre le procès d’Anasse Kazib, porte-parole de _Révolution Permanente_ en France, et la mise en examen de Vanina Biasi, députée du _Parti


Ouvrier_ au sein du _FIT-U_ en Argentine. Au cours des dernières semaines, face à la brutalité de l’État sioniste et à la collaboration des gouvernements « démocratiques » occidentaux avec


les crimes de guerre de Netanyahou, des signes montrent que ce mouvement est en train de renaître. La mobilisation au sein de l’université Columbia, les protestations des enseignants et des


étudiants du Brooklyn College début mai, les manifestations massives organisées dans le cadre de la commémoration internationale de la Nakba (par exemple dans l’État espagnol), l’émergence


d’organisations nées de la rupture par la gauche de jeunes juifs antisionistes avec leurs anciens cadres militants, la vaste campagne internationale de solidarité avec Anasse Kazib, ou


encore la rupture d’une organisation « mainstream » de la communauté juive britannique avec la politique de l’Etat d’Israël. Ce sont les signes qu’il est aujourd’hui plus que jamais possible


de construire un véritable mouvement international contre le génocide perpétré par l’État d’Israël et ses complices, contre l’oppression coloniale de l’État sioniste, et qui se batte pour


le droit du peuple palestinien à l’autodétermination nationale.


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