Kanaky, quand finira le temps des colonies?
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UN AN APRÈS LES RÉVOLTES EN KANAKY CONTRE LA RÉFORME DU CORPS ÉLECTORAL, DONT LA RÉPRESSION A RAPPELÉ AU MONDE ENTIER QUE LA FRANCE ÉTAIT TOUJOURS UN ÉTAT COLONIAL, LA QUESTION DE LA LUTTE
DU PEUPLE KANAK POUR SON AUTODÉTERMINATION EST TOUJOURS AUSSI CRUCIALE. Le 13 avril dernier, une mobilisation historique pour la Kanaky s’est tenue dans les rues de Nouméa : près de 80 000
personnes, pour un territoire de 270 000 habitants, ont marché à l’appel de la Cellule de Coordination des Actions de Terrain (CCAT) pour s’opposer au vote par Paris du dégel du corps
électoral. Depuis plusieurs mois, les militants indépendantistes des différentes organisations ont multiplié les manifestations et les blocages contre la tentative de passage en force de
cette réforme promue par le président de la République et le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin. Une mobilisation inédite qui s’est peu à peu radicalisée et qui a été ponctuée par
treize jours de révoltes de la jeunesse Kanak. Le dégel du corps électoral spécifique aux élections des Assemblées de province et au Congrès (LESP) en l’élargissant de près de 15% (soit
l’équivalent de ce que serait l’ajout de 7 millions d’électeurs, du jour au lendemain, au corps électoral français), vient compléter le report des élections provinciales à décembre 2024.
L’État français cherche ainsi à acter sur le plan électoral et politique la colonisation de peuplement qui s’est accrue au cours des dernières décennies, minorant le peuple autochtone de
l’Archipel dans son propre pays. En ouvrant le corps électoral à tous les natifs et aux personnes ayant au moins dix ans de résidence en Nouvelle-Calédonie la réforme fait pencher la balance
en faveur du « non » à l’indépendance. L’objectif que poursuit l’État français avec cette nouvelle loi est donc clair : liquider le poids politique des indépendantistes qui ont conquis une
majeure partie des instances de représentation autonomes et en finir définitivement avec l’espoir d’une indépendance de la Kanaky via les processus institutionnels établis lors des accords
de Nouméa de 1998. Fondamentalement, cette réforme a confirmé la volonté et l’empressement de Paris d’en finir avec la possibilité d’un exercice réel du droit à l’autodétermination du peuple
Kanak. Après la mascarade qu’a constitué la reconnaissance d’un troisième référendum pour l’autodétermination organisé en pleine pandémie de Covid-19 et massivement boycotté par les
organisations kanak, avec une abstention de 54%, cette tentative de nouveau passage en force a donc ravivé les braises d’une lutte vieille de plus de 170 ans contre le colonialisme français,
celle du peuple Kanak pour son droit à disposer de lui-même. En réactivant des mécanismes de domination coloniale profondément enracinés, notamment à travers sa réaction brutale pour mater
les révoltes, l’Etat français a rappelé à celles et ceux qui l’auraient oublié, en France, ainsi que dans le monde entier, que le France est bien un État qui opprime des peuples à 17 000
kilomètres de Paris. Et que, « par tous les moyens nécessaires », il entend faire perdurer cette domination coloniale. ENTRE INSURRECTION URBAINE ET RÉPRESSION COLONIALE La mobilisation
massive du 13 avril et l’explosion insurrectionnelle qui a démarré un mois après, le 13 mai, exprime un mouvement profond de réactivation de la lutte anticoloniale au sein de la jeunesse
Kanak. _« Ils ont sous-estimé la capacité du peuple kanak à se réveiller »_ explique Arnaud Chollet Leakava, porte-parole du Mouvement des Océaniens Indépendantistes au sein de la CCAT. _«
C’est une révolte politique, culturelle et sociale qui a lieu_ ». Plusieurs semaines avant l’explosion de la colère, l’archipel était pourtant parcouru de barrages filtrants bloquant des
quartiers entiers dès la tombée de la nuit, notamment dans la Province nord et dans les Îles Loyauté, largement contrôlées par les indépendantistes et où une partie importante de la
population kanak est concentrée. Une méthode qui n’a rien d’anodin étant donnée la centralité des grands axes routiers qui relient la plupart des villes à la capitale, alors qu’on assiste
depuis plusieurs années à un exode rural en Kanaky et à une concentration massive de la population dans la ville de Nouméa. Sur ces barrages, on retrouve des militants indépendantistes
historiques, des membres de la CCAT issue du dernier Congrès du FLNKS (Front de libération nationale kanak et socialiste, articulant les princpaux courants pro-indépendantistes), mais aussi
des travailleurs et jeunes kanak, wallisien, futuniens et même caldoches qui viennent soutenir la lutte contre le dégel du corps électoral. Comme pouvait l’expliquer une manifestante, « _Je
ne ne suis pas Kanak et je pense qu’il faut, plus que jamais, amplifier la voix du peuple kanak. Il y a aussi des non-Kanak qui ont voté Oui, qui aiment Kanaky et croient au projet de
société indépendante_ ». A cela, il faut ajouter les nombreux barrages qui ont surgi dans tout le pays sans initiative directe des indépendantistes, et où des centaines de personnes
organisent au quotidien des réseaux de solidarité pour s’approvisionner et se défendre des milices de colons. Comme l’explique une autre manifestante, « _la plupart des barrages sont
toujours en place. Sur le barrage de Montravel où j’habite nous sommes majoritairement des jeunes kanak, ça s’est organisé de manière indépendante avec les habitants et les gens du quartier.
On s’organise ensemble pour que chacun ne manque de rien et pour s’entraider. Contrairement à ce que disent Metzdorf et Backès [respectivement député macroniste anti-indépendantiste et
présidente de la Province Sud], il y a aussi des barrages où on retrouve toutes les ethnies qui se solidarisent_ ». Face aux attaques des milices de colons qui cherchent à les faire fuir,
les jeunes des différents peuples qui composent le pays reconstruisent leurs barrages au quotidien. En plus des barrages, le saut dans la radicalité du mouvement s’est surtout fait ressentir
à partir du moment où la jeunesse kanak des quartiers populaires de Nouméa s’en est emparé. Entassée par milliers dans les quartiers populaires de Nouméa, la jeunesse kanak est le reflet
des contradictions les plus profondes de l’impérialisme français en Kanaky : les profondes inégalités et la misère sociale ne lui font voir dans la France aucune promesse. À des
années-lumière des discours visant à y voir des sauvages ou des pillards, la réalité est celle d’une jeunesse qui a grandi dans les dernières décennies en pensant qu’elle allait connaître
une Kanaky libre et indépendante, portée par les luttes historiques de ses peuples et des générations antérieures dans les années 1970 et 1980. Cependant, la promesse de Nouméa n’a fait que
s’éloigner, et la jeunesse kanak vit la réalité d’une Nouvelle Calédonie sous contrôle impérial de la France, où la droite coloniale et les caldoches et français récemment installés
s’adonnent au racisme et à la discrimination au quotidien. Dans son propre pays, elle subit les éléments classiques d’une colonie devenue une colonie de peuplement qui privilégie évidemment
ses colons : un taux de chômage bien supérieur à celui des autres populations locales (15% chez les kanak contre 8% pour les non-kanak en 2022), une surreprésentation dans la population
carcérale (95% de la population carcérale est kanak), et un avenir marqué par les inégalités et les discriminations. La jeunesse kanak pourrait nous rappeler celle des quartiers populaires
qui s’est insurgée après la mort de Nahel durant l’été 2023 en cela qu’elle n’a pas d’illusion dans le régime existant. Dans une révolte profondément politique, qui a pris ces dernières
semaines la forme d’une véritable insurrection urbaine, la jeunesse kanak lutte pour l’indépendance de son pays et pour son autodétermination en premier lieu, mais aussi pour des questions
sociales et de discriminations étant perçues comme subordonnées à cette question vitale. Les attaques ciblées de grands magasins de la grande distribution ne sont pas que des attaques qui
montrent la profondeur du désespoir social, que la crise du secteur du nickel a entériné pour l’île. Elles sont aussi un acte politique contre les grands groupes comme celui de Bernard
Hayot, milliardaire béké martiniquais, qui a fait sa fortune sur l’exploitation des monopoles de la distribution dans les « Outre-mer » avec la complicité de l’Etat français et des élites
coloniales locales. Les centaines d’enseignes brûlées montrent le caractère explosif d’une jeunesse qui considère qu’elle n’a rien à perdre dans ce contexte colonial pourrissant que la
France est déterminée à maintenir dans un statu-quo. Loin des quartiers riches de Nouméa et des conditions de vie des descendants Lafleur, Ballande ou Pentecost, les grandes familles
caldoches qui continuent à contrôler les réseaux politiques et économiques de l’archipel, notamment dans le Sud. MACRON L’INCENDIAIRE OU LA RÉACTIVATION DES VIEUX MÉCANISMES DE DOMINATION
COLONIALE D’UN IMPÉRIALISME FRANÇAIS EN CRISE ? Pour éteindre le feu allumé, l’Etat français a d’abord usé des vieilles méthodes les plus brutales du colonialisme français qui, par le passé,
a déjà fait couler le sang kanak : état d’urgence, déploiement de l’armée, de blindés du GIGN et du RAID, l’interdiction de TikTok (une mesure que l’on ne retrouve qu’en Afghanistan, en
Inde et en Somalie) assignation à résidence de dirigeants indépendantistes de la CCAT. L’Etat français a ressorti tout son arsenal de répression coloniale ces dernières semaines, promettant
également une vengeance juridique pour les centaines de personnes arrêtées ces derniers jours sur les barrages. Mais comme ce n’est pas suffisant, les détachements de colons armés organisés
sous la forme de véritables milices fascisantes (organisées majoritairement par des Français récemment installés en Kanaky et des caldoches) ont été mobilisés. Les multiples meurtres de
kanak de ces derniers jours par les milices et la police ont rappelé les images des années 1980, où les miliciens caldoches s’organisaient pour « chasser du kanak », en toute impunité. La
profonde complicité de l’Etat français et des médias dans la mise en récit des « groupes d’autodéfense » valident une autre facette des enjeux réels de la colonisation de peuplement. Elle ne
sert pas seulement, comme l’a voulu Pierre Mesmer, à faire disparaître le peuple autochtone de toute forme de représentation publique en le remplaçant au fur et à mesure. Elle sert aussi à
armer rapidement des corps spéciaux, détachés de l’Etat mais qui répondent aux mêmes objectifs que l’Etat français, ses gendarmes, son armée : déloger les barrages et persécuter les
opposants au colonialisme français. Le président français a traversé près de 17 000 km pour annoncer qu’il ne comptait pas changer de méthode. Derrière son vernis communicationnel, Macron a
fait comprendre qu’il ne reculerait sur rien, qu’il ne négocierait en aucun cas le passage de la réforme du dégel et a proposé la recherche d’un « accord global » qui n’est qu’un nouveau
piège pour enterrer institutionnellement l’autodétermination kanak. Le maintien du passage en force déguisé en appels au dialogue et la répression pourraient ainsi très bien montrer à la
jeunesse et au peuple kanak que la seule alternative pour une Kanaky libre sera la poursuite d’une lutte résolue pour un départ intégral de l’Etat français de l’île. Mais alors que la classe
politique hexagonale et les éditorialistes de tous bords s’entêtent à dénoncer un problème de méthode pointant du doigt, pour les moins réactionnaires, « la méthode brutale » du
gouvernement Macron qui a définitivement enterré les accords de Nouméa, il s’agit en réalité d’une réponse « nécessaire » pour un impérialisme français qui traverse depuis plusieurs
décennies une crise structurele qui s’est accélérée ces dernières années. Les camouflets successifs que connaît l’Etat français (dont les plus récents sont son recul historique au Sahel et
ses déboires auprès de ses alliés européens) sont les symptômes d’une puissance impérialiste en déclin. Alors qu’on a assisté cette dernière décennie à un véritable déplacement du centre de
gravité des relations internationales vers l’Indopacifique (où se concentre la majeure partie de l’affrontement entre la Chine et les Etats-Unis), la France essaie de voir cette région comme
un espace où elle pourrait peser. Forte de ses colonies historiques (La Réunion et Mayotte à l’Ouest, les îles éparses et Kerguelen au Sud, Kanaky, Wallis et Futuna, Polynésie « française »
et Clipperton dans le Pacifique) la France voudrait prétendre à une place dans les affrontements entre les grandes puissances avec ses 8000 soldats prépositionnés dans la région. Comme
l’explique Céline Pajon « Au delà de la Chine, la France devrait regarder en face son histoire coloniale dans l’Indopacifique, étant donné que sa légitimité dans la région dérive largement
de ses territoires d’outre-mer ». Ses millions de kilomètres de Zone Economique Exclusive (la Kanaky lui en garantit 1.4 millions dans le Pacifique, sur 11 millions de ZEE pour la France
dans le monde) et la place de ses forces armées de la Nouvelle Calédonie (FANC) au sein de nombreux accords de défense régionaux font de la France une puissance qui pourrait être riveraine
de l’Indopacifique. Une ambition qui va à l’encontre de ses récents déboires dans la région (l’alliance AUKUS dont elle a été exclue et la perte des contrats de sous-marins de Naval Group en
Australie étant des rappels de son isolement, au même titre que le pari risqué de sa prise de distance avec l’initiative Blue Pacific). À cet ensemble de critères géopolitiques et
militaires s’ajoute le besoin de conserver la main sur la Kanaky et ses réserves de nickel (l’archipel représenterait entre 10 et 25% des réserves mondiales). Mais il y a également
l’imbrication des élites coloniales caldoches dans le régime de la Vème République (le passage de Sonia Backès dans le gouvernement Borne en est un symptôme, mais on pourrait surtout
rappeler l’implication profonde de plusieurs figures du régime dans la crise actuelle, d’Edouard Philippe à Gérald Darmanin). En d’autres termes, l’autodétermination du peuple Kanak est
devenue une contradiction pour les intérêts géopolitiques de la France dans le monde et en particulier dans la zone Indopacifique. Tolérer l’autodétermination du peuple kanak reviendrait
pour la France à subir un camouflet historique vis-à-vis de la position que Paris souhaite maintenir dans le monde, la reléguant à une puissance quasiment absente du principal terrain
d’affrontement entre les grandes puissances, une place privilégiée et unique au sein de l’Union Européenne pour laquelle la France ne cesse de présenter des projets « d’autonomie stratégique
» dirigée par son leadership dans la région. La Kanaky revêt donc un intérêt vital pour l’impérialisme français et sa place militaire dans le monde. Si la jeunesse et les travailleurs kanak
obtenaient leur autodétermination, ils précipiteraient non seulement un peu plus le déclin de l’impérialisme français, mais ils pourraient aussi très bien inspirer une nouvelle vague
révolutionnaire et de lutte pour l’autodétermination de peuples qui ont connu des mobilisations importantes ces dernières années comme la Guyane, la Martinique, la Guadeloupe ou encore la
Réunion. LA LIBÉRATION DE LA KANAKY, UN ENJEU ANTI-IMPÉRIALISTE POUR TOUS LES TRAVAILLEURS FRANÇAIS ET COLONISÉS Les annonces de Macron ne pourront suffire à refermer cette crise coloniale
et pourraient même approfondir et radicaliser davantage le mouvement pour le droit à l’autodétermination du peuple kanak. En effet, la radicalité du gouvernement montre qu’il est impossible
d’accepter le cadre d’un potentiel nouvel accord après que celui-ci a complètement liquidé les accords de Nouméa. Face à l’impérialisme français, la balle est désormais dans le camp
indépendantiste, dont plusieurs franges ont déjà annoncé la poursuite des mobilisations. C’est le cas notamment de la CCAT, qui a annoncé _“maintenir la résistance dans les quartiers”_.
Alors que l’écrasante majorité des Kanak (et désormais une partie de la population de Kanaky) croit en une Kanaky libre, l’enjeu de la stratégie pour la lutte pour l’autodétermination
impliquera de refuser tout accord visant à imposer une « paix des plus forts », permettant à la France d’avancer dans ses projets de liquidation de la lutte du peuple kanak. Comme
l’expliquait récemment Mathieu Lopes, militant de l’association Survie « _la question qui se pose n’est pas si indépendance ou non, mais quand et comment_ ». Un état d’esprit également
exprimé par de jeunes militants indépendantistes kanak, comme Kenji ayant réagi aux annonces d’Emmanuel Macron au micro de NC la 1ère : « _Nous on veut plus parler de dialogue, on veut plus
parler d’accords, tous nos vieux ont signé des accords et ces accords n’ont jamais abouti. Aujourd’hui on parle de dégel électoral mais on ne veut pas de ça, on demande la pleine
souveraineté_ ». Si la Kanaky revêt des enjeux vitaux pour l’impérialisme français, la solidarité des travailleurs et de la jeunesse française envers l’insurrection kanak pourrait prendre
une tournure stratégique dans la lutte contre le gouvernement Macron, le régime de la Vème République et plus profondément le capitalisme français. Les dizaines de milliers de jeunes qui se
sont mobilisés ces derniers mois contre la complicité de l’Etat français dans le massacre colonial mené par Israël réalisent que la France aussi est un Etat colonial. Si le spectre des
mobilisations contre la guerre du Vietnam a été réactivé par la solidarité envers le peuple palestinien, victime de génocide, la lutte du peuple Kanak pourrait très bien réveiller le
souvenir de la solidarité avec la Révolution algérienne. Plus que jamais, la lutte pour l’autodétermination du peuple kanak doit résonner jusqu’en France métropolitaine : pour le retrait
total des troupes françaises et de sa police de la Kanaky, la dissolution des milices de colons, la libération de l’ensemble des prisonniers politiques, le retrait de la réforme du corps
électoral et la reconnaissance des crimes coloniaux de la France dans l’archipel. Avec Révolution Permanente, nous serons de toutes les initiatives à venir pour le droit à une véritable
autodétermination du peuple Kanak et un retour du processus de décolonisation plein et entier, la fin de l’oppression coloniale, la suppression du franc CFP contrôlé par l’Etat français, et
pour construire une véritable Kanaky libre, ouvrière et socialiste, dans le cadre d’une Fédération des peuples socialistes de l’Océan Pacifique, un horizon que seul le monde du travail et la
jeunesse de Kanaky, en lien avec le mouvement ouvrier de la région, jusqu’en Australie, pourrait garantir. Un horizon, qui est réactivé, aujourd’hui, par le renouveau de la lutte en Kanaky
pour l’autodétermination.
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