Les questions en suspens après l’incroyable opération « Toile d’araignée » contre la Russie

Les bombardiers stratégiques russes pris dans la « toile d'araignée » du SBU, le service de renseignement ukrainien. L'opération menée le 1er juin vers 10 heures (heure de Moscou) a frappé

en profondeur les capacités de bombardements russes. Quatre bases aériennes ont été attaquées simultanément par des drones, dont la base de Belaya, située en Sibérie à près de 5 000 km de

l'Ukraine, et celle d'Oleynya, près de la frontière avec la Finlande, à un peu plus de 2 000 km. Une cinquième base, Ukrainka, à 6 330 km de Kiev, a, elle aussi, été visée, mais le camion

transportant les drones camouflés aurait pris feu avant l'attaque. Ce n'est pas la première fois que l'Ukraine frappe avec des drones des bases aériennes en Russie. Mais l'ampleur de

l'opération et la méthode utilisée sont inédites...

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On observe, tout de même que l'Ukraine s'impose de ne pas frapper d'objectif strictement civil en Russie. C'est une supériorité morale incontestable. Le peuple Russe est conscient de ce fait

et aimerait que son armée se concentre, exclusivement aussi, sur des objectifs militaires incontestables en Ukraine. Ce sentiment gênant d'un peuple finira par interpeller l'équipe

dirigeante de Russie.

Les centrales nucléaires sont également vulnérables, dont les zones de stockage pour refroidissement...

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