Les agences de talents au cœur du système hollywoodien

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De façon générale, un agent sert d’inermédiaire et représente un client tel qu’un acteur ou un réalisateur. Typiquement, les agents trouvent ou sélectionnent du travail pour leurs clients et


négocient les contrats avec les producteurs ou les studios. Ils peuvent aussi notamment vendre des scripts, aident à trouver des financements, servir d’intermédiaires entre plusieurs firmes


qui ont besoin de travailler ensemble sur un projet, ou obtenir un intéressement dans une production. Les nouveaux médias sont également investis et les agences continuent de diversifier


leur rôles et sources de revenus. La commission standard d’un agent est de 10 %, ce qui explique que le journal _Variety_ les surnomme les « _10-percenters _». > Variety surnomme les 


agents « the 10-percenters » Durant l’âge d’or hollywoodien (soit jusqu’à la fin des années 1940), c’était les studios qui avaient le plus de pouvoir, spécialement à travers leur contrôle


des acteurs et réalisateurs. Il y avait ainsi des acteurs labellisés Paramount ou Warner qui tournaient exclusivement chez eux. À la manière d’un club de football actuellement, les studios


découvraient ainsi des acteurs et géraient leur développement. Les agences de talent sont apparues progressivement car les acteurs avaient de plus en plus de conflits financiers et


juridiques avec les studios, et ils avaient besoin de quelqu’un pour les représenter. Également, à partir des années 1960, la baisse du nombre de spectateurs dans les cinémas a provoqué un


changement radical de la façon de produire des films dans les studios. Ils ont ainsi particulièrement réduit les coûts (élevés) liés aux contrats d’exclusivité avec les acteurs. Désormais,


les acteurs n’étaient plus « possédés » par un studio et pouvaient donc travailler sur des films produits par différents studios. À partir de ce moment-là, les agents ont été vus comme un


maillon essentiel de la chaîne. Ils sont devenus l’intermédiaire inévitable entre leurs clients et les producteurs ou les studios. > À partir des années 1960, les acteurs n'étaient


> plus « possédés » par un studio et pouvaient donc travailler > sur des films produits par différents studios. À partir de ce > moment-là, les agents sont devenus l’intermédiaire 


inévitable > entre leurs clients et les producteurs ou les studios. Il existe des centaines d’agences, mais le marché est cependant dominé par les « big 4 » Creative Artist Agency (CAA),


International Creative Management Partners (ICM), William Morris Endeavor (WME), et United Talent Agency (UTA). LES DIFFÉRENTS TYPES D’AGENCES En Californie, les agences doivent avoir une


licence et sont soumises au « California Talent Agency Act » qui désigne les agences comme : « person or corporation who engages in the occupation of procuring, offering, promising, or


attempting to procure employment for artist or artists. » (« Personne physique ou morale qui exerce la profession de fournir, d'offrir, de promettre ou de tenter de fournir de


l'emploi pour un ou des artistes »). Les agences sont également certifiées ou signataires de l’un des syndicats (_guilds_) telles que la WGA (_Writers Guild of America_ – pour les


scénaristes) ou la SAG (_Screen Actors Guild_ – pour les acteurs). Certaines agences sont également organisées au sein de l’ATA (Association of Talent Agents) qui existe depuis plus de 60


ans. Un autre groupement représentant les agents est la _National Association of Talent Representatives_. Ces deux organisations représentent environ 150 agences. Cependant la SAG et/ou la


WGA ont approuvé 350 agences supplémentaires. Cela montre le nombre d’agence qui existent. Quelques agences fournissent des services complets, d’autres se spécialisent dans certains


domaines. > Les agences peuvent représenter des clients « above the line » > et/ou des clients « below the line » Les agences peuvent représenter des clients « _above the line_ »(1)


(qui ont un rôle clé dans la direction artistique du film) tels que les acteurs, les scénaristes et les réalisateurs, et/ou des clients « _below the line_ » (qui occupent principalement des


fonctions techniques dans la production) tels que les responsables de costumes, les monteurs, les spécialistes en effets spéciaux, les assistants réalisateurs et les coordinateurs de


cascades, ou les directeurs de photographie. Pendant longtemps, les agences « _below the line_ » étaient exclusivement des agences de placement ou les producteurs ou réalisateurs appellent


pour savoir qui est disponible pour constituer une équipe. Quelques grandes agences se sont mises à représenter également des clients « below the line ». Ainsi, UTA a lancé UTA Production


Departement en 1994 et représente toutes sortes de techniciens. Travailler avec des clients « below the line » permet aussi de fournir des package plus complets. Il y existe deux types


d’agences de clients « _above the line_ ». Les agences qui représentent des acteurs s’appellent des « _talent agencies_ », et celles qui représentent les scénaristes, les réalisateurs et


parfois des producteurs s’appellent des « _literary agencies_ ». Les plus grandes agences sont donc des « _talent and literary agencies_ ». Il y a aussi d’autres agences spécialisées telles


que les agences de Models ou de musiciens que nous ne traiterons pas ici LE RÔLE DE BASE DES AGENTS La principale responsabilité des agents est de trouver ou de sélectionner du travail pour


leurs clients puis de négocier leurs contrats. Au fil du temps, leurs activités se sont fortement développées. Avec les acteurs et les réalisateurs bien établis, le travail de l’agent est


principalement de les aider à sélectionner leur prochain travail plutôt que de le trouver. L’agent va donc recevoir un grand nombre de propositions et va les évaluer pour son client.


Souvent, les agents reçoivent des scripts et les employés juniors réalisent des « _coverages_ » pour dire ce qu’ils en pensent. Les agents ont cependant aussi le plus souvent une démarche


proactive pour la recherche de travail pour leur client. Cette démarche est différente selon qu’il s’agisse d’acteurs (_talents_) ou de scénaristes et réalisateur (_literary_). Pour les


_talent agents_, l’un des principaux outils sont les « _Breakdowns_ ». Il s’agit de documents publiés tous les jours qui décrivent les éléments clés de films futurs tels que le synopsis, les


personnages, le nom des réalisateurs, des producteurs et du directeur de casting. Le bouche à oreille et les connections des agents sont également les meilleures sources. Les acteurs les


moins connus sont présentés au directeur de casting avec une photo et un CV. Les directeurs de casting peuvent recevoir des centaines de candidatures. L’objectif de l’agent est d’obtenir une


audition pour son client puis de négocier le contrat. L’objectif de l’acteur est de décrocher le rôle. Les _literary agents_ représentent les scénaristes, les réalisateurs, parfois les


producteurs et tous ceux qui travaillent « _above the line_ » à l’exception des acteurs. Il existe quelques différences avec les _talent agents_. Par exemple, l’agent d’un scénariste doit


parfois vendre les droits d’un scénario déjà existant (alors que par définition, l’acteur n’a pas encore travaillé lorsqu’il est engagé). L’agent peut également aider et guider le scénariste


dans le processus d’écriture. Les principaux termes techniques sont _Specs_, _Writing assignment_, et _Directing Assignement_. Quand un client écrit un nouveau script sans avoir été engagé


pour le rédiger, on parle de _script on spec_ (abréviation de « _speculation_ »_ –_), l’agent met sur pieds une stratégie pour vendre le script. Les scénaristes établis peuvent obtenir des


_writing assignements_ (des commandes d’écriture) comme des adaptations de livres, ou le développement d’une idée originale. Les _directing assignements _sont des contrats pour qu’un


réalisateur dirige un film. Les réalisateurs pas encore connus envoient des _reel – _des extraits de leur travail précédent. Si un studio veut travailler avec un réalisateur, il envoie un


script à l’agent qui ensuite le fait suivre au réalisateur. Si le réalisateur est intéressé, l’agent gère les relations avec le studio et les producteurs. La deuxième grande fonction de


l’agent est de négocier le contrat entre son client et le studio ou la société de production. Négocier un contrat nécessite de prendre en compte différentes séries de règles comme celle du


syndicat des acteurs (la Screen Actors Guild – SAG) ou des scénaristes (la Writers Gild of America – WGA). Ces règles définissent par exemple le nombre d’heures consécutives qu’un acteur


peut travailler et la façon de voyager vers le lieu du tournage. Les termes de la négociation portent sur de nombreux aspects tels que le cachet, les intéressements, la durée et les


conditions du tournage et de la promotion. Les agents peuvent aussi conseiller leur client sur leur carrière. Il ne faut cependant pas les confondre avec les _managers_. La différence peut


parfois être ténue entre un agent et un manager. De façon schématique, les agents trouvent du travail à leurs clients et négocient leurs contrats alors que les managers fournissent des


conseils à leurs clients, les mettent en contact avec des producteurs et des studios, et guident leur carrière sur le long terme. Les managers ne négocient pas les contrats comme le font les


agents, mais supervisent les négociations en prenant soin à ce que leurs clients obtiennent ce qu’ils désirent. Les managers ont généralement moins de clients qu’un agent. Les agents


reçoivent 10 % du revenu brut de leur client. Les managers reçoivent 15 %, et les avocats prennent généralement 5 % ou sont payés à l’heure. Il peut également y avoir d’autres parties


prenantes dans l’entourage de l’acteur, tels que le _publicist (_qui fait en sorte que l’on parle et écrive sur son client)_,_ et le _personal assistant _pour les grands acteurs et


réalisateurs_ (_qui accomplit toute sorte de petites tâches pour rendre la vie de l’acteur plus facile – allant d’organiser le planning de l’acteur jusqu’à faire ses courses). Ainsi, avant


impôts, il y a souvent déjà 30 % qui sont déduits du cachet de l’acteur. La commission des agents est déduite automatiquement par les producteurs avant que l’acteur reçoive son cachet.


L’EXTENSION DU RÔLE DES AGENTS Au fil du temps, les agents ont considérablement étendus leurs activités et ont dépassé leur simple rôle de trouver du travail et de négocier un contrat. Les


agences sont particulièrement considérées comme ayant un pouvoir considérable du fait de leur possibilité de monter des « _film packages_ » c’est-à-dire de fournir aux studios une équipe de


film clé en main avec par exemple le scénariste, le réalisateur et les principaux acteurs. On parle ainsi par exemple de « film CAA » (Jurassic Park était ainsi considéré comme un film CAA


car Michael Ovitz avait réuni les membres clés de l’équipe). Faire des packages leur permet aussi de trouver plus facilement du travail pour leurs artistes moins demandés. Ainsi par exemple


si un studio veut engager Brad Pitt pour un film, ils devront aussi engager pour les rôles secondaires des artistes moins demandés de la même agence. C’est à peu près la même pratique que


pour la vente de catalogues de films. Cette faculté de faire du packaging illustre la montée en puissance des agences face aux studios. Le packaging s’était d’abord fait pour les séries TV,


puis s’est développé pour les films. > Faire des packages permet aussi aux agences de trouver plus > facilement du travail pour leurs artistes moins demandés, et > illustre la 


montée en puissance des agences face aux studios Les agences peuvent développer des revenus réguliers et continus par les « _legacy_ » les revenus provenant de deal sur des programmes TV ou


des films qui sont régulièrement rediffusés. Les agences ont développé enfin un appétit particulier pour les « _entrepreneurial clients_ » qui sont à la fois scénaristes, producteurs, et


acteurs (comme par exemple Ricky Gervais avec le show TV _The Office_). Ces clients gardent en effet des intéressements dans ces productions qui génèrent des revenus pour eux – et leurs


agents – à chaque rediffusion. Les agences peuvent également monter des accords de « _product placement_ » dans des films. Ils incitent par exemple des scénaristes à prévoir des espaces pour


placer des produits dans les films, puis vendre ces espaces aux plus offrant. Dans le même ordre d’idée, ils peuvent aussi négocier des « _endorsment_ » de produits par des stars dans des


campagnes de publicité. > Les agences ne représentent plus uniquement des personnes > physiques, elles représentent aussi des marques Les agences ne représentent d’ailleurs plus


seulement que des personnes physiques (acteurs, réalisateurs…). Elles représentent aussi des marques industrielles ou de grande consommation pour les intégrer dans le business d’Hollywood et


créer des programmes de marketing liés à des films ou à des séries TV, ou même pour développer leurs propres programmes. CAA représente ainsi Coca Cola, General Motors et le Cirque du


Soleil. Les agences se sont même mises à représenter des personnages virtuels tirés de dessins animés ou de jeux vidéo. Ainsi, Lara Croft du jeu Tomb Rider a été le premier personnage


représenté directement comme une véritable actrice par une agence (CAA en 2002). Les agences telles qu’ICM font également des incursions dans le monde de l’édition en représentant des


écrivains avec les maisons d’éditions. Elles travaillent également en sens inverse à l’adaptation de livres déjà publiés. Les nouveaux médias sont aussi investis par les agences. Par exemple


UTA a ainsi été en 2006 la première agence à lancer une division spécifiquement destinée à représenter les créateurs de contenus sur Internet. Ils représentent également de plus en plus les


personnes impliquées dans la création de jeux vidéo ou de dessins animés. Enfin, certaines agences comme CAA vont plus loin et prennent le rôle de banquiers d’affaire en aidant à la vente


ou à la fusion de studios ou de sociétés de production. Elles ont également développé des activités de conseil en stratégie dans le domaine de _l’entertainment_. LES PRINCIPALES AGENCES Les


plus grandes agences hollywoodiennes ont longtemps été désignées comme les « big five » jusqu’en 2009 et la fusion de deux d’entre elles, Endeavor et William Morris Agency qui forment à


présent William Morris Endeavor (WME). Les autres principales agences sont Creative Artist Agency (CAA), International Creative Management Partners (ICM), et United Talent Agency (UTA).


Creative Artist Agency est considérée comme étant l’agence la plus importante. Elle a été créée en 1975 quand cinq agents (Michael Ovitz, Ron Meyer, William Haber, Michael Rosenfeld, et


Rowland Perkins), ont décidé de quitter la William Morris et de créer leur propre agence. Dans les années 1980, l’agence était la seule à demander aux studios une part des productions en


plus des 10 % que les agents prennent habituellement sur un contrat. David Geffen a alors accusé CAA de mettre à mal tout le système hollywoodien. Il leur reprochait également de faire trop


monter le salaire des acteurs. On peut donc constater que le débat actuel en France sur le salaire des acteurs n’est pas nouveau ni réservé à la France. Durant les années 1990, CAA a


développé ses activités et faisait plus que représenter des talents. L’agence est devenue un acteur complet du système impliquée dans la publicité, la finance d’affaire, le conseil et la


représentation de clients corporate. Ses principaux clients sont les acteurs, musiciens, écrivains et athlètes les plus en vue, comme Georges Clooney, Tom Cruise, Brad Pitt, Eminem, Will


Smith et Steven Spielberg. CAA représente aussi de nombreux français comme Vincent Cassel, Marion Cotillard et Bérénice Bejo. CAA a des bureaux à Los Angeles, New York, Nashville, Londres,


Pékin, Chicago, Stockholm, et Bombay. William Morris Endeavor (William Morris Endeavor (WME) est l’agence la plus ancienne et la plus grande. Elle a été créée sous le nom William Morris


Agency en 1898 et est devenue alors la plus importante agence en représentant principalement des artistes de Vaudeville. En 1995, quatre agents d’ICM David Greenblatt, Tom Strickler, Rick


Rosen et Ari Emanuel (également frère de Rahm Emanuel, l’ancien Chief of staff de Barak Obama) se sont réunis pour créer l’agence Endeavor. La série de télévision _Entourage_ s’inspire de


ces agents. En 2009, William Morris et Endeavor ont fusionné pour créer William Morris Endeavor, la plus grande agence au monde avec près de 5 000 employés. WME représente notamment Dustin


Hoffman, Ben Affleck, Matt Damon, Keira Knightley et Jean Dujardin. WME a des bureaux à Beverly Hills, New York, Londres, Nashville, et Miami. United Talent Agency (UTA) a été créée en 1991


avec la fusion de deux autres agences Bauer-Benedek Agency and Leading Artists Agency. UTA représente notamment Johnny Depp, Harrison Ford, Owen Wilson, Gwyneth Paltrow, Paul Giamatti,


Anthony Hopkins, Tim Robbins, Ewan McGregor, Rachel McAdams, Kirsten Dunst, Ice Cube, Anna Kournikova, Daniel Radcliffe, Joel et Ethan Coen, Judd Apatow, Wes Anderson et Omar Sy. UTA est


également connue pour sa « UTA Joblist ». UTA a des nouveaux locaux à Beverly Hills, ainsi que des bureaux à New York. International Creative Management Partners (ICM) a été créé en 1975


avec la fusion de Creative Management Associates and International Famous Agency. En 2005, l’agence a procédé à une levée de fonds pour financer une croissance stratégique. En 2006, ICM


acquiert l’agence Broder Webb Chervin Silbermann. En 2012, l’agence a procédé à un _management buyout(2)_ et a formé un partenariat avec le nouveau nom ICM Partners. Les clients principaux


d’ICM sont notamment Woody Allen, Richard Gere, Halle Berry et Chris Rock. ICM a des bureaux à Los Angeles, New York, et Londres. Les agences ont donc un rôle central dans l’industrie


hollywoodienne. Leur importance est telle que, au-delà de soutenir les clients qu’elles représentent, ces agences sont également de véritables rampes de lancement dans l’industrie pour leur


propre personnel. Les grandes agences ont ainsi développé des « agent training programs » qui sont très recherchés. Les _trainees _commencent généralement dans la _mailroom_ puis tournent


dans les différents départements de l’agence jusqu’à devenir assistant d’un agent puis agent eux-mêmes. Les agents sont tellement exposés à l’ensemble de l’industrie qu’il est fréquent


qu’ils deviennent ensuite _studio executives. _Il est ainsi courant de parler du parcours d’agents « _from the mail room to the board room_ ». David Geffen a ainsi dit que le _training


program_ de l’agence William Morris était le « Harvard du show business – mais en mieux, car il n’y a pas de notes, pas d’examens, un petit salaire, et de grandes opportunités à la sortie. »


RÉFÉRENCES - Frederick LEVY, _Hollywood 101: The Film Industry_, St. Martin's Press (2000) - Janet WASKO, _How Hollywood Works_, SAGE Publications Ltd (2003) - Jason E. SQUIRE, _The


Movie Business Book_, Touchstone (2004) - Paul MCDONALD, _The contemporary Hollywood Film Industry_, Wiley-Blackwell (2008) - Tony MARTINE, _An Agent Tells All: An Uncensored Look at the


Business of Acting_, Hit Team Publishing (2005) - Kelly CRABB, _The Movie Business: The Definitive Guide to the Legal and Financial_, Simon & Schuster, 2010 - Mark LITWAK, _Dealmaking in


the Film and Television Industry From Negotiations Through Final Contracts_, Silman-James Press (2002) - Dina APPLETON, _Hollywood Dealmaking: Negotiating Talent Agreements for Film, TV and


New Media_, Allworth Press, (2010) COMMENT FONCTIONNE HOLLYWOOD ? - ÉPISODE 6/17 D’une position marginalisée au début du 20e siècle, les studios Universal ont rejoint les rangs des plus


grandes majors d’Hollywood. Parcours emblématique des mutations de l’usine à rêve. COMMENT FONCTIONNE HOLLYWOOD ? - ÉPISODE 4/17 Dotée d'un budget dépassant les 80 millions de dollars,


la MPA se charge de la diplomatie mondiale des sept majors, dont les seules recettes en salles se montaient en 2010 à 23,3 milliards de dollars, et contribue à établir un « cinéma-monde »


hollywoodien.


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