Le thread : l’info au fil des tweets
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NOUVEAUX FORMATS DE L’INFO : WORK IN PROGRESS - ÉPISODE 3/5 Nouveaux formats de l’info, 3e épisode : au fil des ans, le réseau social Twitter est devenu une plateforme d’information
importante. De nombreux médias y sont présents. Mais au-delà des simples tweets, est-il possible de développer une narration de l’information à l’aide des threads ? propos recueillis par
Xavier Eutrope Publié le 15 octobre 2018 Connaissez-vous les _tweetstorms _? Selon le site d’information Buzzfeed, le terme est apparu en 2014. Chris Dixon, utilisateur de Twitter, l’a
utilisé pour caractériser les enchaînements de tweets successifs qui, pris tous ensemble, développent une idée. En l’occurrence, Chris Dixon faisait référence à une diatribe enflammée de
l’un de ses collègues, Marc Andreessen, qui avait publié de nombreux tweets énervés en très peu de temps. Certains de ses _tweetstorms_ ont été compilés ici. Aujourd’hui, un terme est
préféré à _tweetstorm_ pour parler du phénomène : celui de _thread_s. L’article de BuzzFeed a été publié le 7 mai 2014 et Marc Andressen n’était très probablement pas le premier à faire ce
genre de publication effrénée sur le réseau social. De par son fonctionnement et ses limitations (pas plus de 140 caractères par message jusqu’à très récemment), de nombreuses personnes
voyaient dans la succession de tweets la seule façon de formaliser leur pensée sur la plateforme. > Twitter s’est inspiré des pratiques de ses utilisateurs pour > développer de
nouvelles fonctionnalités Comme à de nombreuses reprises durant son histoire, Twitter s’est inspiré des pratiques de ses utilisateurs pour développer de nouvelles fonctionnalités. Tout
d’abord, en 2013, une ligne est apparue sur la gauche des tweets pour signaler les messages qui se répondaient. Ces derniers étaient ainsi regroupés les uns en dessous des autres, pour
offrir plus de cohérence et de clarté pour les utilisateurs. Cette fonctionnalité a été rapidement détournée par certains usagers, qui répondaient à leur propre tweet afin de poursuivre leur
discours. Le 30 mars 2017, Twitter annonce que les caractères composant les noms des destinataires à qui sont adressés les messages ne compteront plus dans la limite des tweets. Une grande
avancée pour les personnes qui échangent avec plusieurs interlocuteurs en même temps sur la plateforme… ainsi que pour les usagers qui souhaitent alimenter de façon optimale leurs fils de
tweets. Le 12 décembre 2017, Twitter facilite la création du _thread_._ _Une nouvelle option permet ainsi d’écrire tous les tweets qui constitueront la discussion et de les publier d’un seul
coup plutôt qu’un par un. Si l’on ajoute à cela la nouvelle limite de 280 caractères apparue en novembre 2017, les usagers de Twitter ont désormais de nombreux outils pour s’exprimer. Ces
nouvelles fonctionnalités apparues au fur et à mesure ont permis de faire évoluer les usages sur la plateforme, usages rapidement adoptés par les utilisateurs. Une grammaire de construction
et d’usage des _threads_ s’est développée. Le potentiel de « _storytelling_ » offert par ces outils est important et les utilisateurs de Twitter les utilisent pour parler des sujets qui les
touchent, qu’il s’agisse de débats de société, de leur passion pour un artiste ou un film. De nombreux journalistes se sont aussi approprié le _thread_ pour parler d’une actualité qu’ils
suivent ou de leur production, alors que certaines rédactions, comme le _New York Times_, expliquent dans leur règlement qu’une suite de tweets n’est pas forcément nécessaire si un article
peut être écrit. Entretien avec Jules Grandin, cartographe pour_ Les Échos_ et créateur de fils de discussion. _LES _THREADS_ QUE VOUS PUBLIEZ SUR VOTRE COMPTE TWITTER SONT-ILS ÉCRITS DANS
LE CADRE DE VOTRE TRAVAIL AUX _ÉCHOS_ ?_ JULES GRANDIN : Non ce n'est pas quelque chose que je fais dans le cadre de mon travail. Nous avons déjà utilisé la technique, en construisant
de petits _threads_, pour traiter d’un sujet en particulier, en l’occurrence lors de la publication du supplément sur le premier anniversaire de l'élection d’Emmanuel Macron. Nous
avions fait pas mal d'infographies et avions présenté les infographies sous forme de _thread_, car dans ce cas-là c'est une forme de narration qui est bien adaptée aux réseaux
sociaux. Pour ce qui est de mon compte Twitter, qui est personnel, je fais mes propres contenus de mon côté, et ils ne sont pas forcément en rapport avec les _Échos_. C'est pourquoi
quand je fais un _thread_ sur les problèmes frontaliers entre le Soudan et l'Égypte, c'est quelque chose de personnel, ça n'a pas forcément sa place dans la ligne éditoriale
des _Échos_. Et ça ne pourrait pas forcément donner naissance à un article, pour des affaires de ligne éditoriale. Lorsque je travaillais au _Monde_ où si jamais j’étais à _Libération_,
peut-être que je pourrais en faire un article, car ce sont des quotidiens qui sont plus généralistes. Mais ce n’est pas non plus exactement la même chose. Je fais plus ça pour parler de
cartographie aux gens mais ce n’est pas forcément relié tant que ça à mon emploi en fait. > Il y a 74 ans jour pour jour, le #6juin 1944, les troupes alliées > lançaient
l'opération Overlord et débarquaient sur cinq plages > françaises. > > Bien sûr, pour préparer tout ça, il fallait des cartes > #Thread ?? ?? pic.twitter.com/5C8mzz7ful
> — Jules Grandin (@JulesGrandin) 6 juin 2018 PENSEZ-VOUS QU’IL Y A DE BONNES PRATIQUES À ADOPTER SUR LA FAÇON DE FAIRE UN BON THREAD_, QUE CE SOIT POUR UN MÉDIA OU UN JOURNALISTE ?_
Jules Grandin : Bien sûr, mais ça reste personnel, je n’écris pas les règles [rires]. J'essaie toujours de ne pas avoir trop de tweets par exemple, une quinzaine maximum. Il y a des
_threads_ que je trouve très intéressants mais qui sont un peu longs. Lorsque les tweets sont numérotés et que l’on voit arriver le cinquante-septième… Personnellement je me lance rarement
dans la lecture de _threads_ aussi longs, du coup je pense que la plupart des gens s'y lancent moins facilement. Je préfère rester un peu flou sur le nombre de tweets qu'il va y
avoir, je ne l'indique jamais dans le premier message, afin de ne rebuter personne. Ensuite j'essaie de faire ça en vingt tweets maximum. Il n’y a pas si longtemps, j’en ai fait un
sur les cartographies de l'amour qui avait bien marché mais en le relisant j’ai trouvé qu'il y en avait trop, à peu près vingt-cinq. Ça fait beaucoup, surtout depuis que l'on
a la possibilité d’écrire des tweets en 280 caractères. Donc il faut que le fil ne soit pas trop long et le tout premier tweet doit être bien travaillé, parce que c'est celui que les
gens vont « retweeter ». Donc il faut qu’il comprenne une petite formulation un peu mystérieuse. > Il faut plein de choses pour venir égayer le thread et l'illustrer Mais il est
aussi nécessaire de faire comprendre qu’il va falloir « dérouler » et lire la suite. Donc je mets des petits émojis avec des flèches, ou alors j'écris carrément que c'est un
_thread_, mais j'essaie d'éviter le plus possible. Les images sont aussi très importantes. Après dans mon cas, je parle principalement de cartographie, donc il faut que je trouve
des cartes... Il faut plein de choses pour venir égayer le _thread_ et l'illustrer. Il est aussi nécessaire de bien travailler ses sources. La plupart des _threads_ que je fais sont
basés sur des livres. Vu que je suis cartographe j'ai une grosse bibliothèque d'atlas et de bouquins que je consulte régulièrement, et je trouve mes idées là-dedans. Ensuite je
croise, je source, je référence, j'évite le conditionnel. Mais après c'est un peu la même chose que pour un article normal. Je préfère être sûr à 200 % de ce que je raconte. _DONC
VOUS PRÉPAREZ VOS FILS BIEN EN AMONT AVANT PUBLICATION ?_ Jules Grandin : Oui. Mais j'ai souvent mes idées dans le feu de l'action, je me dis : « Ah bah tiens ça ferait un super
_thread_ » et je commence à me renseigner, je lis des livres, je trouve des photos, etc. Puis j’ouvre un document, un fichier texte, sur mon ordinateur, et je commence à écrire, d’abord en
mettant les grandes lignes, un peu comme si j'étais en train de faire le brouillon pour une dissertation avant de toute mettre en forme. Mais au moment où je poste le premier tweet,
j'ai déjà tout le fil qui est finalisé. Je me suis assuré que message tient bien en 280 caractères. Au moment de poster je fais des copier-coller. J'ai envie qu'il soit assez
vite complet parce que les gens s’y perdent un peu si vous mettez trop de temps à le construire. _VOUS N'UTILISEZ PAS LA FONCTIONNALITÉ QUI PERMET DE PUBLIER TOUT LE _THREAD_ D'UN
COUP, COMME TWITTER LE PERMET ?_ Jules Grandin : Oui, mais c'est juste une question d'habitude. C'est assez récent que Twitter le permette et je n’ai pas trop pris le pli. Je
me réponds à moi-même et je copie-colle au fur et à mesure mes tweets préparés. _QU'APPORTENT LES _THREADS_ DE PLUS, PAR RAPPORT À UN ARTICLE PAR EXEMPLE ? SUR TWITTER CERTAINES
PERSONNES NE VOIENT PAS L'INTÉRÊT DE FAIRE UN FIL DE TWEETS ALORS QU’UN TEXTE POURRAIT FAIRE L’AFFAIRE ?_ Jules Grandin : Déjà on ne peut pas toujours faire un article. Je ne vais pas
faire un article sur le site des _Échos_ pour expliquer un problème frontalier qui n’a rien à voir avec l'actualité... les _threads_ que je fais sont souvent dans ce cas, quel que soit
le sujet, il s’agissait de sujets que je ne pouvais pas vraiment traiter sur le site du média pour lequel je travaillais. Ensuite, j'ai toujours été cartographe pour les médias qui
m’employaient. Donc même si c'est tout à fait dans mes cordes, je n'écris généralement pas d'article, je dessine des cartes ou je fais des infographies, etc. Je pourrais très
bien faire tout ça sous la forme d'articles mais ce n’est pas forcément mon reflexe numéro 1. Ce que j'aime bien dans les _threads_ sur Twitter, c'est le retour des gens.
Lorsqu’un fil est partagé et marche bien, on se rend compte que ça intéresse les gens, particulièrement lorsqu’ils répondent en expliquant qu’ils ont trouvé les tweets intéressants et qu’ils
ont appris des choses. C'est le grand avantage de construire un fil de tweets : lorsqu’il fonctionne, c'est gratifiant. Ça m’a permis de comprendre que les gens aimaient beaucoup
les cartes, même s’ils ne le savaient pas eux-mêmes. Et ça se vérifie à chaque fois que je raconte des histoires qui sont basées sur les cartes : les gens sont extrêmement intéressés. _UNE
DES CRITIQUES QUI REVIENT LE PLUS SOUVENT CONCERNE LE FAIT QU’UN _THREAD_ N’EST PAS FORCÉMENT LA CHOSE LA PLUS INTÉRESSANTE &AGRAVAGRAVE; LIRE, QUE ÇA PREND UN PEU D'ESPACE DANS LES
FLUX. EST-CE UNE REMARQUE QUE L’ON VOUS FAIT RÉGULIÈREMENT ? _ > Le thread force à être synthétique JULES GRANDIN : Je ne trouve pas que ça prenne tant d'espace que ça dans les
_timelines_, dans la mesure où au final les tweets sont postés assez rapidement, car je pense qu’ils sont préparés dans leur ensemble par leur auteur avant la publication. En dix, vingt
minutes c'est fait, et le tweet qui est le plus « retweeté » est toujours le premier donc je ne pense pas que ça prenne tant de place que ça. Je dirais que ce qui peut être gênant,
c'est que ça risque d’être cryptique pour des gens qui ne connaîtraient pas très bien Twitter. Par exemple mes parents ne vont jamais comprendre que sur Twitter il y a un premier
message auquel je réponds. Il faut déjà comprendre Twitter mais il faut en plus être un peu initié aux rouages de la plateforme. En fait je trouve que ça force à une chose : être
synthétique. Pour moi c'est vraiment une idée par tweet, c’est-à-dire 280 caractères maximum. Et même si c'est plus que les 140 d'avant, ce sont de toutes petites phrases et
il faut que ce soit efficace, il faut que l'on arrive à l'essence du sujet. C'est ce qui me plaît avec Twitter : le côté synthétique obligatoire qui en fait quelque chose de
presque oulipien pour moi. Il s’agit de se libérer dans la contrainte : on vous donne un nombre limité de caractères et il faut rentrer dedans. C'est une démarche proche d'écrire
un roman sans utiliser la lettre E. _CELA POSE AUSSI LA QUESTION DU TRAVAIL NON RÉMUNÉRÉ DU JOURNALISTE, D'UNE CERTAINE FAÇON. CAR IL EST QUESTION DE LA PRODUCTION D’UN TRAVAIL
JOURNALISTIQUE QUI DEMANDE UN CERTAIN EFFORT, DES CONNAISSANCES ETC. ESTIMEZ-VOUS QUE VOUS FAITES ÇA BÉNÉVOLEMENT OU Y GAGNEZ-VOUS TOUT DE MÊME QUELQUE CHOSE ? _ JULES GRANDIN : C’est
totalement bénévole parce que personne ne va me rémunérer pour ça. En revanche moi j'y gagne quelque chose derrière. Tout d’abord, de l'exposition sur les réseaux sociaux. Le fil
peut ne pas fonctionner mais je finis tout de même par y gagner parce que les gens vont voir ce que j’ai produit. Ils vont « retweeter » et « liker », ou peut-être pas, mais ils vont le
voir, et éventuellement me suivre. Et lorsque je vais publier mon travail des _Échos_, qui va encore être de la carte ou de l'infographie, je vais avoir des personnes qui me suivent qui
sont intéressées par ça, car elles seront venues par un _thread_. Pour moi le compte Twitter est un objet un peu hybride. On est à la limite de quelque chose de professionnel mais pas tout
à fait. Mon compte Twitter est personnel, je ne transige pas avec ça. Après je participe au compte Twitter Les Échos Graphiques, qui est celui du service infographie des _Échos_, et qui est
totalement professionnel. Je n’irai jamais raconter mes histoires sur les cartes avec ce compte-là. Sur mon compte Twitter, personnel, je partage aussi de la musique, des blagues, il
m'arrive d'y parler des expositions que je fais, de mes vacances. Donc quand je fais des _threads_ dessus, je suis en train de travailler pour moi personnellement, pour mon
exposition, pour mon réseau aussi, parce que Twitter est extrêmement fréquenté par les journalistes. Il y a énormément de gens que je connais dans mon milieu et qu'au final j'ai
rencontré sur Twitter ou jamais vus en vrai. En produisant comme je le fais, en faisant du contenu intéressant, on s'inscrit dans un réseau à peu près aussi fort qu'en socialisant
à des soirées. Donc c'est personnel mais derrière, cela profite au média dans lequel je travaille. Parce j’ai plus de valeur pour le média dans lequel je travaille avec avec 5000
abonnés qui m’identifient comme un cartographe qui connaît ses sujets, plutôt qu’avec 200 abonnés qui ne me connaissent pas. Pour moi on s'y retrouve. > Touristes gravissant Uluru,
en Australie, malgré un panneau > demandant de ne pas le faire. > > Conséquence de l'explosion du tourisme mondial et de la volonté de > préserver les sites:
l'ascension sera interdite à partir d'octobre > 2019. > > Et ce n'est pas un cas isolé ???? pic.twitter.com/xGkKZe3R29 > — Les Echos Graphiques (@EchosGraphiques)
20 juillet 2018 _QUE LES MÉDIAS GAGNENT-ILS À FAIRE DES THREADS ? JE N’EN VOIS PAS TANT QUE ÇA QUI EN FONT DE FAÇON SYSTÉMATIQUE. _ Jules Grandin : Non c'est vrai, il n'y en a pas
tant, c'est toujours quelque chose de très personnel. Nous en avions fait un pour la carte de la « Macronie » à l'occasion de l'anniversaire de l'élection
d'Emmanuel Macron. C’était un _thread_ qui faisait un peu guide touristique de l’endroit, disant ce qu'il y avait à l'est, à l'ouest, quelle route il fallait prendre,
etc. Nous racontions une histoire. En l'occurrence dans le premier tweet de ce _thread_ sur Macron, il y avait le lien vers le grand format sur le site des _Échos_ où l'on
racontait plus ou moins la même chose, l’interactivité en plus. On part du principe que les gens sur internet « retweetent » ou « likent » alors qu'ils n'ont pas lu le papier. Je
me dis donc qu’avec un _thread_, je fournis une version ultra _light_ du vrai grand format que l'on a travaillé pour le site, mais je le ventile sur dix tweets que les gens vont lire.
Ainsi ils auront quand même saisi 80 % de ce que l'on veut leur transmettre avec le vrai article qu’ils n’auront peut-être pas lu. Le _thread_ permet de ne pas juste jeter
l'infographie comme ça en espérant que les gens vont cliquer dessus, cela permet de la contextualiser un peu, de donner les basiques, un plan détaillé plutôt qu’une dissertation
complète. Cela donne une façon d'ancrer la chose. -- Crédit : Illustration : Ina. Yann Bastard NOUVEAUX FORMATS DE L’INFO : WORK IN PROGRESS - ÉPISODE 1/5 Nouveaux formats de l’info,
1er épisode : depuis quelques temps, les stories ont le vent en poupe. Ce format adapté à la navigation mobile, constitué de panneaux contenant images, vidéos et sons s’est popularisé. Pour
un média, comment s’en emparer et créer une expérience intéressante pour les lecteurs ?
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