Le numérique en 2017 : les grandes tendances vues par nicolas nova
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LES MÉDIAS EN 2017 VUS PAR… - ÉPISODE 5/5 Nicolas Nova est enseignant-chercheur à la Haute École d’art et de design de Genève. Il est le co-fondateur de l’agence de recherche et de
prospective sur le numérique Near Future Laboratory. Bots, réalité virtuelle, mort de Twitter et données personnelles : que peut-on attendre en 2017 ? propos recueillis par Alexandre
Foatelli Publié le 06 janvier 2017 _QUELLES SERONT LES TENDANCES ET LES ÉVOLUTIONS À ATTENDRE DANS LE NUMÉRIQUE EN 2017 ?_ NICOLAS NOVA : Ce qui m’intéresse pour le futur proche, ce sont
toutes les expérimentations faites dans les laboratoires, les _startups_ ou les projets concernant le _machine learning_, permettant de faire apprendre différents comportements et modes de
recommandations à des programmes informatiques, sur la base de nos données personnelles. Cela existe depuis un moment. Ce sont les recommandations musicales de Spotify ou Amazon faites
d’après nos sélections antérieures. Mais cela se généralise sur toutes sortes de plateformes, par exemple les banques en ligne qui automatisent l’analyse d’un budget, ou font des
recommandations pour contracter tel ou tel crédit. Cela passe par toutes sortes de petites applications qui n’existaient pas auparavant, par exemple, celle qui permet de prendre un objet en
photo que le programme analyse pour faire des recommandations d’achat de cet objet sur Internet. Dans les prochaines années, ce procédé se généralisera. Ensuite, il y a la commercialisation
des casques de réalité virtuelle. N’y a-t-il pas un décalage entre la disponibilité de l’offre matérielle et des contenus, et l’intérêt que les usagers ont pour ces contenus ? En discutant
avec certains fabricants, il y a pour moi un décalage important entre la communication qui est faite sur les projets de matériels et les contenus qui sont proposés ensuite. Je m’intéresse
aussi aux objets, au _hardware_, et je constate qu’en Chine, la pratique longtemps prévalente de copier soit du _hardware_, comme des smartphones, soit du _software_ avec des _copycat_ de
formes occidentales, est en train de changer. On assiste à des formes d’innovation concernant les objets connectés et les smartphones qui proposent désormais des choses nouvelles et qui
fonctionnent. Je pense, par exemple, à la marque Xiaomi, qui réussit malgré quelques difficultés financières, ou la manière dont WeChat devient la plate-forme à tout faire, comme si on avait
plusieurs applications en une. On va voir ces produits, de plus, arriver sur les marchés occidentaux, sans savoir si une déferlante aura lieu en 2017. Je suis curieux de voir comment ces
technologies pensées d’abord comme des copies destinées au marché chinois, et qui vont arriver dans le monde occidental, vont amener certaines nouveautés, pour nous imprévisibles, parce
qu’on ne pense pas les innovations de la même manière. On assiste également à une explosion du nombre de lieux de réparations de technologies. À une époque où on parle beaucoup
d’obsolescence programmée, où les gens changent fréquemment de _hardware_, je trouve intéressant de voir qu’il existe toutes sortes de pratiques de réparation qui se développent autour de
ces objets, en raison de leur valeur, de la crise et des soucis écologiques qu’ils posent. On peut ainsi apprendre à réparer son smartphone ou son drone. Potentiellement, on pourrait
assister à un changement de sensibilité au sein des sociétés car ces enjeux de réparation avaient été laissés de côté depuis vingt ou trente ans. Et ce n’est pas juste de la réparation, ce
peut-être aussi des conseils pour mieux utiliser sa batterie. > Je suis curieux de voir ce qui va advenir avec l’administration > Trump, au sein de laquelle des données personnelles
pourraient > être utilisées pour surveiller une partie de la population Enfin, il faudra suivre les problèmes liés au _hacking_, les fuites de données personnelles, et les comportements
des grandes sociétés technologiques par rapport à nos données personnelles. Je suis curieux de voir ce qui va advenir avec l’administration Trump, au sein de laquelle des données
personnelles pourraient être utilisées pour enquêter, surveiller une partie de la population. _SELON PLUSIEURS ÉTUDES, D’ICI À 2020, DE PLUS EN PLUS D’INTERACTIONS SERONT FAITES ENTRE
L’INTERNAUTE ET DES BOTS. D’APRÈS VOUS, DANS QUEL DOMAINE CE PHÉNOMÈNE SE DÉVELOPPERA LE PLUS VITE ? POUR QUELS TYPES D’APPLICATIONS EN PREMIER LIEU ?_ NICOLAS NOVA : Je pense que dans tous
les domaines liés aux services, il y a de grandes chances que les bots soient une façon de remplacer les centres d’appels. Cela se fait déjà, grâce à des programmes dans lesquels on échange
oralement ou en tapant au clavier. Ce développement se fait pour des raisons de coûts. C’est un débat que j’ai déjà eu : chaque site web aurait-il son bot avec qui on pourrait échanger ? Et
je n’en suis pas persuadé, tout simplement parce que ce n’est pas toujours la solution la plus efficace. Je pense qu’il faudra revenir sur l’interaction avec les bots en tant que
fournisseurs de services et d’informations, parce que cela peut être considéré comme une pollution par les usagers, un spam de nouvelle génération, pourrait-on dire. > Il faudra revenir
sur l’interaction avec les bots en tant que > fournisseurs de services et d’informations, parce que cela peut > être considéré comme un spam de nouvelle génération par les > usagers
Ensuite, quand je parlais de _machine learning_ et de modes de recommandations, c’est un peu une extension des bots, sauf que cela ne va pas forcément se traduire par un avatar. Je pense
par exemple au programme qui s’appelle x.ai, un petit bot qui permet de prendre des rendez-vous et d’organiser son agenda. Pour le moment, ces outils sont plutôt utilisés dans le monde
professionnel, cela semble cohérent. Cependant, est-ce que cela va bien fonctionner et faut-il que ce soit un programme incarné ? Au fond, les bots sont, pour l’instant, des petits
programmes qui agissent en toile de fond. C’est ce qui existe, par exemple, sur Wikipedia, où une grande quantité de ses modifications, jusqu’à 20 % voire plus dans certaines langues, sont
le fait de petits bots qui corrigent les fautes d’orthographe et de ponctuation. _LA RÉALITÉ VIRTUELLE ET LA RÉALITÉ AUGMENTÉE POURRONT-ELLES RÉVOLUTIONNER NOS RAPPORTS SOCIAUX, NOTAMMENT
SUR LES RÉSEAUX ?_ NICOLAS NOVA : À court terme, je n’en suis pas convaincu. Le fait d’utiliser ce genre de technologie immersive est intéressant mais sur de courtes durées, surtout la
réalité virtuelle, mais il est difficile de la généraliser à toutes les activités qui ont lieu sur les réseaux sociaux. On voit, avec les expérimentations autour des Google Glass ou sur
Hololens de Microsoft, que la dimension sociale et collective me paraît plus difficile à mettre en place. Après, il peut y avoir des niches de population pour qui ça peut être intéressant.
Depuis que je suis adolescent, la réalité virtuelle est quelque chose dont on entend parler régulièrement tous les cinq ou dix ans, une sorte de Graal technologique, mais ce n’est pas
forcément quelque chose qui est facile à généraliser à toutes les applications grand public. Certains pensent tout le contraire de ça, mais c’est ma conviction. > On entend parler de la
réalité virtuelle régulièrement tous les > cinq ou dix ans, mais ce n’est pas forcément facile à > généraliser à toutes les applications grand public _TWITTER EST EN DIFFICULTÉ DEPUIS
PLUSIEURS MOIS, FAUTE DE TROUVER UN ACHETEUR. EST-CE QUE 2017 POURRAIT ÊTRE SA DERNIÈRE ANNÉE D’EXISTENCE ?_ NICOLAS NOVA : Il est certain que s’ils ne parviennent pas à trouver un modèle
économique plus pérenne, cela va être difficile de survivre. Pour le moment, je pense qu’une des raisons pour lesquelles Twitter continue d’exister, c’est le fait que son usage gigantesque
rassure les investisseurs. Je ne suis pas convaincu qu’il va disparaitre car l’infrastructure de Twitter ne requiert pas une main-d’œuvre phénoménale. Des plateformes comme Flickr, par
exemple, sont encore utilisées mais ne recueillent plus beaucoup d’intérêt. Elle est toujours présente et elle vit sa vie. Et je ne vois pas de disparition à court terme de Twitter : il n’y
a qu’à voir les différents moments autour des élections, avec un usage massif. C’est énorme ! Réunir autant d’utilisateurs représente déjà un immense travail pour un groupe de médias ou une
entreprise qui souhaite avoir une forte audience, et cette audience existe déjà. Après, sur la façon de la monétiser, j’ai l’impression que Facebook y arrive mieux que Twitter. _EN CHINE,
LES PERSPECTIVES POUR WECHAT SONT-ELLES MEILLEURES ?_ NICOLAS NOVA : Non seulement ça a l’air d’être rentable, mais en plus ce n’est pas uniquement un système d’échanges de messages, c’est
un programme pour interagir avec toutes sortes de choses de la vie quotidienne. WeChat propose les mêmes services qu’Uber, et aussi plus ou moins les mêmes qu’Amazon: c’est devenu un portail
d’accès pour tout un répertoire de services, que même Facebook ne propose pas. C’est là où WeChat est assez impressionnant. Cependant, ce n’est pas quelque chose qui se généralise, cela
reste encore cantonné surtout à la Chine et un peu dans les pays d’Asie du Sud-Est. _WECHAT POURRAIT-IL SE DÉVELOPPER DANS LE COURANT DE L’ANNÉE ET SE GÉNÉRALISER UN PEU PARTOUT DANS LE
MONDE ? _ NICOLAS NOVA : Je ne pense pas encore. Leur stratégie doit déjà être tournée vers leur marché propre, qui est gigantesque. Mais, une fois qu’ils auront atteint les limites de leur
marché intérieur, c’est ce que l’on a vu avec les fabricants de _hardware_, ils essaieront de coloniser le reste du monde en développant des centres de recherche et développement en
Occident, pour mieux connaître le marché et savoir comment modifier l’interface et mieux vendre leurs produits. Des marques qui font du _hardware_ comme Samsung ou Huawei ont procédé de
cette manière et ont ouvert des centres de R&D en Europe et aux États-Unis. Au bout d’un moment, faire des produits pas chers ne suffit plus, mais on n’a pas encore vu ce basculement
pour des plateformes de _software_ chinoises comme Alibaba et WeChat. Mais ça pourrait venir. _QUELS SONT LES ENJEUX PAR RAPPORT AUX PROBLÈMES DE HACKING, DE FUITES DE DONNÉES PERSONNELLES
ET DE LA GÉOLOCALISATION ? Y VOYEZ-VOUS DES SOLUTIONS ? _ NICOLAS NOVA : Pour moi, il y a deux enjeux : le premier est celui de l’accumulation de données personnelles par certaines
entreprises pour proposer des services basés ces données accumulées. En Suisse, on peut moduler vos primes d’assurance automobile en fonction des données obtenues grâce à des capteurs qui
sont dans votre véhicule. > Il y a des données personnelles très intimes qui posent la > question de savoir à qui l’on confie ces informations Dans un second temps, il existe un autre
enjeu : le piratage de vos données qui servent à des buts qui n’étaient pas ceux prévus au moment de les communiquer est un problème majeur pour les citoyens. C’est un débat très technique
avec des enjeux précis. Un débat démocratique sur la régulation de ces pratiques ne me semble pas forcément évident. Il existe des initiatives de citoyens pour essayer de se réapproprier
leurs données, d’autres essayent de protester et de faire en sorte que les données soient effacées. Il y a en même temps une volonté de ne pas empêcher le business d’exister, ni d’être trop
contraignant pour les utilisateurs : si on disait, par exemple, que tous les trois mois il faut remettre à zéro toutes vos données personnelles sur une plateforme, cela voudrait dire que
votre mur Facebook s’efface tous les trois mois! Et ça, ce n’est pas forcément acceptable du point de vue des entreprises, ni pour certains usagers. En fait, il n’y a pas de recette miracle
et simple, c’est au cas par cas, suivant différents enjeux. Ce que l’on peut se dire, c’est qu’il y a des données personnelles très intimes, je pense notamment aux données médicales, qui
posent la question de savoir à qui l’on confie ces informations. En France, les services secrets veulent utiliser Palantir, une plateforme américaine, ce qui pose question. _QUEL IMPACT LES
RÉSEAUX SOCIAUX POURRAIENT-ILS AVOIR PENDANT LA CAMPAGNE PRÉSIDENTIELLE DE 2017 ?_ NICOLAS NOVA : Quand on regarde toutes les visualisations de données, on voit la manière dont les groupes
sociaux discutent ensemble sur les réseaux sociaux, et on se rend compte que, souvent, les communautés ne sont pas très poreuses et restent chacune dans leur coin. Il y a un effet de caisse
de résonance entre des personnes qui sont du même avis, et ces groupes se montent les uns contre les autres. Cela cadre le débat sur certains événements très précis, comme la télévision le
faisait auparavant. La nouveauté c’est cette formidable caisse de résonance et on a l’impression de pouvoir entendre les gens hurler chez eux devant leur téléviseur, parce que l’on a accès à
cette démonstration. Donc ça la rend explicite, ça la rend plus visible, et ça suscite parfois certaines tensions. _LES DRONES ET LES ROBOTS FERONT-ILS PARTIE DE NOTRE VIE QUOTIDIENNE EN
2017 ? _ NICOLAS NOVA : C’est déjà le cas dans une certaine mesure si on regarde le chiffre de vente des aspirateurs Rumba, par exemple. En revanche, si on parle des robots humanoïdes, ce
n’est pas du tout d’actualité. Les robots humanoïdes, c’est encore une solution qui cherche le problème qu’elle pourrait résoudre. Quant aux drones, pour ce qui est du loisir, c’est déjà là,
et je me demande s’ils seront massivement utilisés pour des services de livraison, par exemple. Il y a toutes sortes de régulations et de problèmes de sécurité qui font que ça ne sera pas
forcément pertinent. Ce sera plutôt, peut-être, pour des choses un peu moins grand public mais plus liées à de la surveillance, pour l’agriculture, ou pour la police. Je ne suis pas certain
que cela se produira en 2017, mais je vois plus l’insertion des drones pour les usages quotidiens plutôt comme caméras de surveillance, et pour les tâches domestiques, sans être le robot
majordome d’un film de science-fiction. > Les robots humanoïdes, c’est encore une solution qui cherche le > problème qu’elle pourrait résoudre _S’AGISSANT DE L’EXPLOSION DES LIEUX DE
RÉPARATION POUR LES OBJETS CONNECTÉS, SUR LAQUELLE VOUS TRAVAILLEZ, QU’EST-CE QUE CELA TRADUIT DE NOTRE RAPPORT À CES OBJETS ? EST-CE LIÉ À LA THÉMATIQUE DE L’OBSOLESCENCE PROGRAMMÉE ?_
NICOLAS NOVA : Je m’intéresse aux pratiques et aux lieux, c’est-à-dire aux magasins, officiels ou non, aux _hackerspaces_, aux pratiques à la maison, à l’aide des tutoriels en ligne. C’est
vraiment un changement par rapport à la décennie précédente. On pense à l’obsolescence programmée, mais j’ai un avis un peu plus nuancé sur la question. Certains fabricants d’objets
technologiques sont toujours soucieux de la durabilité des produits, mais arriver à faire un ordinateur ou un smartphone qui marcherait pendant quinze ans, c’est plus facile à dire qu’à
faire ! Ne serait-ce qu’au niveau du _software_ et des pièces détachées. Ce qui m’intéresse, c’est de voir comment des pratiques naissent sans forcément l’accord ou la collaboration des
grandes sociétés technologiques, et de voir qu’il existe des gens qui savent réparer l’écran de leur iPhone chez eux, ou qu’il y a des magasins qui le font, alors qu’a priori ce sont des
boites noires que l’on n’est pas censé réparer, ouvrir ou modifier. Ça montre qu’il existe des savoir-faire techniques qui peuvent se constituer et circuler en ligne. On trouve beaucoup de
documentation pour faire ce genre de choses, et pour moi, ça n’est pas uniquement le fait des _hackers_ ou des _geeks_ car ça commence à être fait dans des magasins qui ont pignon sur rue.
Un modèle économique est en train de se constituer et qui remonte globalement de la base pour atteindre les entreprises, mais peut-être pas encore les fabricants ! Google a réduit l’ambition
de son projet de téléphone modulaire, où l’on pouvait changer la batterie et l’écran, mais ce sont des choses qui vont certainement revenir sur le papier à un moment donné. _C’EST DONC UNE
FORME D’APPROPRIATION DE LA TECHNOLOGIE PAR LES CLIENTS ?_ NICOLAS NOVA : Oui, ça peut être par les clients, par des gens qui sont un peu bricoleurs et qui se disent qu’ils peuvent monter un
magasin, ou qui étaient vendeurs de cartes SIM, voyant plein de gens venir avec des téléphones cassés et qui savent plus ou moins se débrouiller. Au début, ils expliquent comment les
réparer, et de fil en aiguille, ils savent aussi expliquer aux gens comment mieux utiliser la batterie, ou comment modifier le processeur pour l’accélérer un petit peu. Ensuite, ils
partagent ces informations dans des tutoriels sur YouTube. Certaines sociétés, à chaque nouveau smartphone qui arrive sur le marché, l’ouvrent et sortent des rapports qu’elles
commercialisent pour expliquer comment il fonctionne. Il y a tout un business autour de ça, ce qui est un phénomène intéressant, qui ne s’est pas constitué avec la collaboration des
entreprises technologiques. LES MÉDIAS EN 2017 VUS PAR… - ÉPISODE 2/5 Eric Scherer est directeur de la prospective à France Télévisions et anime le site meta-media.fr. Il présente sa vision
de l’évolution de la petite lucarne en 2017. LES MÉDIAS EN 2017 VUS PAR… - ÉPISODE 1/5 Cyril Petit est rédacteur en chef central et secrétaire général de la rédaction du Journal du dimanche
print et numérique. Il donne son point de vue sur les évolutions de la presse en 2017.
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