Guillaume erner : « j’adore inviter des gens avec qui je ne suis pas d’accord »
Guillaume erner : « j’adore inviter des gens avec qui je ne suis pas d’accord »"
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« Quand je suis arrivé, “Les Matins” réunissaient près de 500 000 personnes, rappelle Guillaume Erner. Ce qui m’excite, c’est d’atteindre le million. » © Crédits photo : Johanne Licard
Depuis 2015, Guillaume Erner présente la matinale de France Culture. Tentative d’approche de cet amoureux de la complexité, venu de la sociologie et du prêt-à-porter. Mathieu Deslandes
Publié le 02 février 2025 Au début de l’année 2019, Guillaume Erner s’est lancé un défi : compter le nombre de jours où le mot _« Juif » _apparaissait dans l’actualité… sans qu’aucun sujet
ne le justifie _a priori_. L’expérience l’a vite lassé : il était question de Juifs presque tous les jours, en particulier sur des pancartes de « Gilets jaunes », sur des tags ou des tweets
éclos dans leur sillage. Ensuite, il y eut la profanation d’arbres plantés en l’honneur d’Ilan Halimi, des croix gammées sur des portraits de Simone Veil, et les _« Sale sioniste de merde,
retourne dans ton pays ! » _lancés à Alain Finkielkraut en marge d’un cortège. Face au post-it virtuel ouvert sur son téléphone, l’animateur de la matinale de France Culture a commencé à
s’inquiéter. Lui, _« Juif obsédé par les Juifs » _— qui y songe _« comme Al Pacino dans _Scarface_ songeait à la cocaïne, Marx à la lutte des classes ou Obélix aux sangliers »_, note-t-il
dans son dernier livre (_Judéobsessions_, Flammarion, 2025) — a eu l’impression que la société tout entière était gagnée par une obsession pathologique. Le 7-Octobre n’a rien arrangé. Un
matin, à l’antenne, Guillaume Erner a évoqué l’Israélien qu’il connaît le mieux, un artiste quasi-centenaire qui, après la Shoah, s’est installé dans un kibboutz à une trentaine de
kilomètres de Gaza : son oncle Dov. Pour le journaliste, c’était une manière de signifier que la famine organisée dans la bande de Gaza sapait les fondements mêmes de l’État d’Israël, mais
les auditeurs entendent ce qu’ils veulent bien entendre, et son courrier a redoublé. RUPTURE Du premier tiroir d’un caisson à roulettes dont la façade a disparu, Guillaume Erner, à quelques
jours de son cinquante-septième anniversaire, extrait des feuillets pliés en trois : les messages antisémites d’un correspondant anonyme. Il rapporte aussi les propos d’une auditrice qui lui
a poliment suggéré de cesser d’inviter _« des membres de [sa] communauté »._ Sur l’armoire qui se trouve à l’entrée du bureau de l’équipe de la matinale, du fan art est exposé : deux
portraits jumeaux de Guillaume Erner et d’Alain Finkielkraut. _« Un peu antisémites, non ? »_, s’interroge le journaliste. Parmi les mails qu’il reçoit, remarque cependant Guillaume Erner,
une catégorie a disparu : ceux qui regrettent terriblement ses prédécesseurs, en particulier Marc Voinchet (2009-2015) et Jean Lebrun (1992-1999). Au bout de dix saisons ! Les vieux
auditeurs s’en souviennent : son arrivée à la tête de la matinale, à la rentrée 2015, correspondait à une volonté de rupture. Il s’agissait de passer d’un style d’animation fait de chaleur
et de légèreté, d’une tranche acrobatique et ultra-séquencée, hymne aux trouvailles sonores et aux nuances vocales, à un exercice bien plus sérieux, froid et carré. _« Marc chantait la radio
; Guillaume a induit quelque chose de beaucoup, beaucoup, beaucoup plus cérébral »_, résume Sandrine Treiner, qui a dirigé la station de 2015 à 2023. Elle ajoute : _« Son mode, ce n’est pas
l’empathie, ni avec les invités, ni avec les auditeurs. Son truc, c’est : Qui que tu sois, je suis curieux de ce que tu as à me dire. »_ MÉTÉO La directrice de l’époque avait une priorité
:_ « Faire une grande radio, pas la station qu’on écoute quand on a envie d’un pas de côté. » _Dans la grille, cela s’est traduit par moins de chroniques, moins d’opinions, moins d’invités
politiques. Des sujets plus hiérarchisés, une revue de presse hexagonale, un journal de l’économie, et la météo — _« la plus belle des paroles consolatrices »_._ « Guillaume est arrivé avec
des réflexes très journalistiques_, se remémore son premier réalisateur, Benjamin Hû._ Au lendemain des attentats du [vendredi] 13 novembre 2015, il a pris l’antenne, alors qu’il n’y avait
normalement pas de matinale le samedi. »_ Face au nouveau matinalier, censé porter _« un regard venu du monde intellectuel » _sur l’actualité, Sandrine Treiner martèle deux exhortations. La
première : _« Tu peux tout faire, mais tu dis de quoi tu parles. Tu cites Max Weber ? Pas de problème, mais tu nous rappelles qui est Max Weber. » _La seconde :_ « Tiens à distance le regard
des autres. » _Comprendre : un seul avis compte vraiment, le sien, qu’elle distille par SMS avant, après, et tout au long du direct. Mécaniquement, Guillaume Erner a le regard en permanence
rivé sur son téléphone — expérience déroutante pour les autres occupants du studio. ABERRATIONS Ce n’est pas la seule source de trouble pour ses collègues. Dans ce microcosme constitué
d’une _« gauche Libé »_ et d’un fond de sauce catho de gauche, le nouveau venu détonne, perçu comme le représentant d’une gauche très républicaine. Tout à sa proximité avec la directrice,
qui lui rappelle _« les femmes ashkénazes très ascétiques, très dures, très cérébrales et inflexibles » _qui peuplent sa famille, il se mêle peu à la vie collective de la chaîne et ne s’y
fait guère d’amis. Et puis, il a beau être d’humeur égale, ses collaborateurs ont l’impression de ne pas comprendre ce garçon qui emploie le mot _« idiosyncrasie »_ au-delà du raisonnable.
De ne jamais savoir s’il est au premier ou au dix-septième degré, alors qu’il adore lâcher des aberrations et attendre, impassible, de voir si quelqu’un les relèvera. Résultat : un feu
d’artifice de malentendus, des désirs illisibles, des accusations de paranoïa, et des angoisses persistantes chez les petites mains chargées de rédiger les fiches sur lesquelles il s’appuie
pour mener ses entretiens. PHOBIE Billettiste inspiré, Guillaume Erner se révèle souvent laborieux dans les lancements et les transitions, et patauge volontiers dans des traits d’esprit
avortés. En interview, son talent est inégal : incontestablement soucieux de clarté, il pose des questions kilométriques, ne donne pas toujours l’impression d’écouter les réponses, rebondit
à contretemps. Très à l’aise dans les conversations théoriques et conceptuelles, il parvient rarement à faire raconter une expérience vécue. Pire : il a la phobie des histoires. Il dit qu’il
en a trop entendu, dans son enfance : celle de la mort du cousin Paul fusillé par la Gestapo, celle du passage de la ligne de démarcation par sa mère, à 9 ans, dans une forêt corrézienne…
Qu’une esquisse de récit surgisse, et aussitôt Guillaume Erner fuira dans une paisible abstraction. Alors, à l’écoute de ses prestations, la frontière entre le calme et l’ennui est parfois
subtile. L’audience, pourtant, ne cesse de croître. En dix ans, le nombre d’auditeurs de la matinale a presque doublé et les autres producteurs, bénéficiant de sa force d’entraînement, ont
mis leurs critiques en sourdine. _« Guillaume a déconcerté les gens qui étaient sensibles au charme de Marc [Voinchet],_ reprend Sandrine Treiner._ Mais il en a attiré tellement d’autres. Et
puis, même les déçus sont restés : ils n’avaient nulle part ailleurs où aller. »_ FRIPE Ce poste, dit Guillaume Erner, était _« le rêve de [sa] vie »_ ; celui qui germait quand il
enregistrait des cassettes dans sa chambre d’enfant ; quand, à 11 ans, il allait dans les studios d’Europe 1 assister aux émissions de Pierre Bellemare et Harold Kay ; quand il écoutait
Supernana et Jean-Yves Lafesse sur Carbone 14, cette mythique radio libre ; quand à son tour il a pris le micro, dans un local de la rue Amelot (Paris XIe). Sur Cheap Radio, il animait «
Dissidence politique ». Il se souvient d’une interview des Stranglers. Avec Guy Bedos, l’enregistreur n’a pas fonctionné ; le comédien, _« très gentil, a tout refait »_. Guillaume Erner
avait 14 ans. Une décennie plus tard, il participe à _Vu de Gauche_, un journal dirigé par Jean Poperen, destiné à soutenir la campagne du candidat socialiste à l’élection présidentielle de
1995. Puis il épaule le journaliste Guy Sitbon, son _« père spirituel »_, engagé dans la rédaction d’une biographie de Jacques Attali. Le jeune homme, pourtant, sabote sa vocation. Parce que
le journalisme a d’abord été le rêve inassouvi de son père — auditeur fervent de France Culture, lecteur passionné du _Monde_ et du _Monde diplomatique_ — le fils s’empêche de le dépasser.
Il se convainc qu’un journaliste _« ne peut pas être juif »_ et, fidèle à sa famille _« 100 % ashkénaze, 100 % de gauche, 100 % dans la fripe »_, il entame une carrière de commercial dans le
Sentier. CHAKCHOUKA _« En matière d’avenir, _ressasse-t-il,_ il n’y avait qu’un choix : confection pour homme ou confection pour femme. »_ Et qu’il ne s’avise pas de se plaindre : _« Ce
n’est pas Auschwitz »_, répètent ses parents qui, hors de ses heures de travail, tolèrent néanmoins qu’il s’adonne à ce qu’ils perçoivent comme un hobby : la sociologie. Un hobby qui
débouche sur une thèse, sous la direction de Raymond Boudon. Son titre ? _« Analyse critique du modèle du bouc émissaire en sociologie de l’antisémitisme. » _Guillaume Erner marie ensuite
ses expériences en se lançant dans une sociologie de la mode. Il souligne que _« la mode et l’antisémitisme sont deux mensonges auxquels des individus adhèrent »_. On en est là : il a 36 ans
quand une amie d’enfance qui travaille à Radio France lui parle d’une jeune femme qu’elle a vu débuter quelques années plus tôt. Elle s’appelle Rebecca Manzoni et cherche des chroniqueurs
pour « Eclectik », l’émission qu’elle s’apprête à inaugurer sur France Inter. Guillaume Erner voit très bien qui c’est : un jour qu’elle remplaçait Pascale Clark, elle l’avait reçu pour
évoquer son premier livre sur la mode et, relevant le défi lancé par un copain, il s’était débrouillé pour placer le mot _« chakchouka »_. Rendez-vous est donc pris, dans un café. _« Il
avait préparé un texte, et s’est mis à le lire comme s’il était au micro »_, se souvient Rebecca Manzoni. Elle apprécie _« sa présence vocale »_, _« son sens de la formule imagée »_, sa
capacité à s’inscrire _« dans cette zone de l’écriture radiophonique entre le parler et l’écrit »_. Elle lui confie un billet hebdomadaire. MANIES Chaque semaine, il lui soumet son texte à
l’avance, avide de conseils. Légèrement moqueur, il se penche sur les manies de l’époque, avec force références à la pop culture et la psychanalyse. L’aventure dure six saisons, entrecoupées
d’émissions d’été, de remplacements divers, jusqu’à ce qu’il hérite d’une pastille quotidienne sur les médias, puis qu’il succède à Isabelle Giordano à la tête de « Service Public » à la
rentrée 2011. Là, avec la bénédiction de Philippe Val, le patron de la chaîne, il orchestre un étonnant tour de passe-passe : non sans espièglerie, il transforme cette émission dédiée à la
consommation et à la vie quotidienne en un programme de sociologie populaire. > « J’ai dû rêver très fort » Un auditeur l’écoute avec une attention particulière : le patron de France
Culture. En novembre 2013, au cocktail organisé en l’honneur de Yann Moix, qui vient de décrocher le prix Renaudot, Olivier Poivre d'Arvor avise Guillaume Erner et lui propose la
matinale de sa station. _« J’ai dû rêver très fort »_, jubile ce dernier. Il accepte, et ignore que la même offre est faite au même moment à d’autres voix — des intellos qui comme lui ont
préféré la radio à l’université — à qui l’on demande s’ils seraient capables de parler moins vite et de ne pas snober Bernard-Henri Lévy. Mais Marc Voinchet rempile pour une saison. BHL
Bientôt, à France Inter, la situation se corse. Laurence Bloch, la nouvelle directrice, reproche à Guillaume Erner de ne plus être assez grand public. Il implore :_ « Ne me renvoie pas dans
les fringues ! »_ En vain. Elle met un terme à son émission. Dépression-éclair et joie suprême : au début de l’été 2015, Marc Voinchet est finalement exfiltré à la direction de France
Musique, et Guillaume Erner désigné pour lui succéder. Entre-temps, il est devenu pigiste à _Charlie Hebdo_. Charb le lui avait proposé. _« À l’aube du matin de l’attentat, je pestais qu’il
ne m’ait pas encore appelé pour participer à la conférence de rédaction »_, raconte Guillaume Erner. L’avantage, avec lui, c’est qu’il n’a pas été nécessaire de le forcer à recevoir
Bernard-Henri Lévy. Son père avait_ « tous ses livres »_ et Guillaume Erner l’aime beaucoup. Il a même un projet avec l’ex-nouveau philosophe : refaire _L’Abécédaire_ de Gilles Deleuze,_ «
en version modernisée »_. À la radio, plaide-t-il, _« je ne vois pas au nom de quoi, sous prétexte qu’il serait BHL, on ne l’inviterait pas. On me dit qu’il a été trop invité. J’ai regardé :
il a été invité 0,6 fois par an sur la chaîne depuis dix ans, ce qui n’est pas trop. Par ailleurs, il ne va pas aller dans une émission spécialisée, donc si je ne l’invite pas, personne
d’autre ne le fera. »_ TOUTOLOGUES Il apprécie aussi Alain Minc (_« le plus vieil ami de mon beau-frère »_) et Jacques Attali. _« À côté des experts, il y a une place pour les » toutologues
«, ces commentateurs capables de rendre sens à l’actualité sans avoir de discipline précise, ce qui suppose un talent particulier. » _Dans cette catégorie d’intervenants, il cite Marcel
Gauchet et Edwy Plenel, David Djaïz et Gilles Finchelstein, et puis Monique Canto-Sperber, Cynthia Fleury, Dominique Méda, Céline Spector, Eva Illouz et Nathalie Heinich. _« J’adore inviter
des gens avec qui je ne suis pas d’accord, au micro comme dans la vie »_, dit-il. _« Dans la vie »_, en effet, le spectre idéologique peut être très large, le samedi soir, autour de la table
où reçoivent Guillaume Erner et son épouse, une universitaire dont le nom buzza lorsqu’elle devint plume de Nicolas Sarkozy : Marie de Gandt. (_« Un grand nombre de mes amours ont été des
femmes à particule »_, relève Guillaume Erner.) Dans cet immeuble — que ce néo-marathonien rallie trois fois par semaine en courant — sa mère et sa tante occupent l’appartement du dessous,
son frère celui du dessus :_ « J’ai recréé un shtetl vertical »,_ constate le journaliste. SANGLOTS En 2023, il a été déstabilisé. Mise en cause pour son management jugé brutal et
autoritaire, Sandrine Treiner a quitté la direction de la radio en janvier. Privé de sa perfusion de SMS directoriaux, le matinalier a semblé perdu pendant plusieurs semaines, se méfiant de
ses doutes comme de ses certitudes, prenant chaque décision dans la douleur. Riss l’a ensuite viré de _Charlie_ sans la moindre explication, ce qui reste_ « une meurtrissure »_. Et puis, en
mai, Guillaume Erner a interviewé Maïwenn, à la veille de la projection de _Jeanne du Barry_, en ouverture du Festival de Cannes. Aux collaborateurs qui lui demandaient ce qu’il voulait pour
ses fiches, il avait lancé : _« Première partie : Jeanne ; deuxième partie : du Barry ». _Il avait entendu dire que la réalisatrice était une intello, très construite, et il se réjouissait
d’avance._ _Mais très vite, Maïwenn se sent humiliée par l’abstraction des questions, elle explique qu’elle ne se sent _« pas tellement légitime » _pour y répondre, que ce sont des questions
pour un sociologue ou un psy et, à _« la douzième minute » _de l’enregistrement — prévu pour en durer quarante-cinq — , elle éclate en sanglots. SOPHIA ARAM Vingt-trois minutes sont
finalement sauvées au montage mais, au téléphone, Emelie De Jong, la nouvelle directrice de la station, fait savoir à Guillaume Erner que ce qu’elle vient d’entendre n’est pas exactement sa
tasse de thé._ « Entre mon amitié pour Sandrine [Treiner] et cette interview, je suis bon pour Pôle Emploi »_, se convainc-t-il alors. La Maison de la Radio bruisse de son départ. Mais il
est reconduit. Cette dixième année, ses collègues le sentent plus libre. Émancipé. Pas _woke _pour un sou, il s’imagine que la jeunesse qui l’entoure l’est, et s’astreint à la comprendre. Il
se démultiplie dans des projets annexes — podcasts, bouquins, documentaires audiovisuels — et rêve d’une émission d’humour qu’il pourrait animer avec son amie Sophia Aram. _« À certains
égards, _pense-t-il_, les humoristes ont remplacé les grands éditorialistes. » _Avant, il lui reste toutefois à conquérir quelques dizaines de milliers d’auditeurs matutinaux
supplémentaires. _« Quand je suis arrivé, “Les Matins” réunissaient près de 500 000 personnes. Ce qui m’excite, c’est d’atteindre le million. »_ Radio France a voulu développer un algorithme
de recommandation unique en son genre, qui ne se focalise pas seulement sur les clics, mais invite à la découverte de programmes. Pas si simple.
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