Jugée pour financement du terrorisme, la journaliste céline martelet s'explique
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« Je pense que mon travail sert l'intérêt général », dit la journaliste Céline Martelet. © Crédits photo : Alexandre Rito ENTRETIEN AVEC CÉLINE MARTELET Elle veut _« reprendre le
contrôle du récit »_ et _« réhabiliter [son] image journalistique »_ : un mois avant son procès en appel, la journaliste Céline Martelet se confie à_ La Revue des médias_. propos recueillis
par Mathieu Deslandes Publié le 05 mai 2025 Le 10 juin 2025, Céline Martelet, une journaliste indépendante de 45 ans, est appelée à comparaître devant la cour d'appel de Paris. Jugée
en première instance — en même temps qu'une autre journaliste et qu'un avocat — par la XVIe chambre du tribunal correctionnel de Paris, elle a été condamnée, en mars 2024, pour
financement du terrorisme. Dans un entretien à _La Revue des médias_, elle confie ce qu'elle attend de ce procès en appel. Elle revient sur les actions pour lesquelles elle a été
poursuivie, décrit les conséquences de la médiatisation de son histoire et défend son intégrité professionnelle : _« Je n'ai commis aucune faute journalistique »_, dit-elle. _VOUS AVEZ
ÉTÉ CONDAMNÉE À DOUZE MOIS DE PRISON AVEC SURSIS POUR FINANCEMENT DU TERRORISME. POURQUOI AVEZ-VOUS DÉCIDÉ DE FAIRE APPEL ? _ CÉLINE MARTELET : Parce que je n'ai pas financé de
terroristes. Parce que ce mot _« terrorisme »_ collé à mon nom est une humiliation. C'est insupportable pour moi d'être accusée d'avoir financé des groupes terroristes dont je
documente la violence extrême depuis 2013. J'ai été la première à alerter sur la dangerosité des femmes de djihadistes à une époque où on ne les voyait que comme des victimes. Je veux
saisir l'opportunité de ce deuxième procès pour essayer de mieux expliquer ce qui s'est passé. Je fais aussi appel parce que le procureur national antiterroriste a achevé son
réquisitoire en indiquant qu'il regrettait de ne pas pouvoir m'empêcher d'être journaliste. Cette phrase est scandaleuse, elle porte préjudice à toute la profession. Je
m'en veux de ne pas lui avoir rappelé que la presse est heureusement indépendante des pouvoirs en France. _POUR QUELS FAITS ÊTES-VOUS POURSUIVIE ?_ Je suis poursuivie pour des faits qui
se déroulent dans un contexte particulier, en 2016-2017. À l'époque, énormément de djihadistes français cherchent à quitter la Syrie par tous les moyens. La majorité d'entre eux
contacte les autorités françaises pour demander de l’aide. Les familles de ces Françaises et Français partis rejoindre Daech payent pour les sortir de là, elles font toutes appel à des
passeurs, et sont toutes confrontées à une souffrance abyssale. J'ai été condamnée pour financement du terrorisme pour avoir aidé à envoyer 350 euros — une somme qui ne
m'appartient pas et que je n'ai jamais eu en main — à une jeune femme partie en Syrie à 14 ans, coincée dans le siège de Raqqa, mi 2017. Elle était en train de mourir de faim,
l'un de ses deux enfants était déjà mort de faim, et sa mère, qui était une de mes sources, cherchait un moyen de lui faire parvenir un peu d'argent pour survivre. J'ai
accepté d'aider sa mère à transférer ces 350 euros à un contact en Turquie. Il n'y avait évidemment aucune volonté de ma part d'aider cette jeune fille à se maintenir sur
zone, ni aucune volonté de l'aider à financer une quelconque action violente. _SOYONS CONCRETS. COMMENT AVEZ-VOUS « AIDÉ À ENVOYER » DE L'ARGENT ?_ Il n'y pas de système
bancaire en Syrie. J'étais en France lorsque cette mère désespérée de voir sa fille et ses petits-enfants dans une telle situation m'a demandé de l'aide. Mon rôle a consisté à
donner à une connaissance alors en Turquie les coordonnées d'un intermédiaire turc capable d'envoyer ces 350 euros à cette jeune femme. Tous les transferts d'argent, y
compris ceux des ONG, vers la Syrie se faisaient comme cela — et continuent et à se faire ainsi aujourd'hui — à cause notamment des sanctions économiques. _LE DOSSIER COMPORTE DEUX
AUTRES HISTOIRES. QUE VOUS REPROCHE-T-ON ? _ Dans un deuxième volet, je suis condamnée pour complicité de financement de terrorisme. Il s'agit là d'un transfert d'argent —
toujours pas le mien — pour permettre la sortie et la reddition d'une famille de Français avec quatre enfants piégés à Mossoul, au milieu de combats très violents, dans les derniers
jours de la bataille contre Daech en juillet 2017 — je précise que les autorités françaises savaient que cette famille voulait se rendre. Enfin, en première instance, j'ai été relaxée
sur un troisième volet qui concernait la sortie de Syrie d'une jeune femme avec son bébé de quelques mois. _QUEL OBJECTIF POURSUIVIEZ-VOUS EN AIDANT CES PERSONNES ? _ Je n'avais
aucun objectif journalistique. J'ai répondu par humanité à des situations de détresse absolue. Je ne pouvais pas dire non. _DES ENFANTS QUI SOUFFRENT, VOUS EN AVEZ SANS DOUTE CROISÉ DES
CENTAINES DANS VOTRE CARRIÈRE. POURQUOI AVOIR VOULU SAUVER CEUX-LÀ EN PARTICULIER ? _ À cette époque, le contexte est complètement différent de celui d’aujourd’hui. Je travaillais sans
discontinuer sur les filières terroristes en Irak et en Syrie et, en France, sur les victimes d'attentats. J'étais plongée dans des situations d'une gravité exceptionnelle, de
très nombreuses Françaises avec qui j'étais en contact sur zone me demandaient de l'aide, j’ai toujours dit non. Mais en juin 2017, je n’ai pas su dire non lorsqu’une Française
djihadiste, mère de quatre enfants pris au piège dans le siège de Mossoul, m'a envoyé une photo d'eux, alignés par terre. Il était évident qu'ils étaient en train de mourir de
faim. Des clichés de cette famille ont été publiés quelques semaines plus tard dans _Paris Match_ ; ils sont glaçants. Si ces enfants-là m'ont poussée à sortir de mon rôle de
journaliste, je pense que c'est parce qu’ils ressemblaient à mes propres enfants. Je ne suis pas une machine, la souffrance me touche. Je pense que c'est justement parce que
j'ai gardé cette part d'humanité que je ne suis pas une mauvaise journaliste. _À L'AUDIENCE, EN PREMIÈRE INSTANCE, VOUS AVEZ RECONNU ÊTRE « SORTIE DU CADRE ». QU'EST-CE
QUE ÇA SIGNIFIE ?_ Il n’y a pas vraiment de cadre lorsqu’on travaille dans des zones et sur une matière si compliquées. Je suis toujours restée journaliste mais des réalités m’ont
bouleversée et, à un moment donné, j’ai décidé d’aider. Quand j'ai fourni cette aide, ça n'avait pas vocation à nourrir mon travail. Je n'ai jamais rien écrit sur ces
histoires-là, je n'ai pas utilisé le fait que j'ai aidé ces familles pour obtenir des infos. Je n'ai pas enfreint notre déontologie professionnelle. Je n'ai commis aucune
faute journalistique. Qui laisserait mourir des enfants ? S'ils n'étaient pas des enfants de djihadistes, donc les enfants de nos ennemis, personne ne se poserait la question.
J'ai agi en tant qu'être humain. _DANS LE CONTEXTE QUE VOUS AVEZ DÉCRIT, LA FORME D'AIDE QUE VOUS AVEZ APPORTÉE ÉTAIT-ELLE INHABITUELLE ?_ Dans cette période de chaos absolu,
d'autres journalistes ont vraisemblablement fait la même chose. De très nombreuses personnalités des médias ont été sollicitées pour faire sortir des enfants de cet enfer. Un livre
(_Dans la nuit de Daech_, de Sophie Kasiki et Pauline Guéna) et un film (_Exfiltrés_, d'Emmanuel Hamon) racontent d'ailleurs très bien comment des gens en France se sont mobilisés
pour exfiltrer une femme et son enfant. Le livre a été publié en 2015, avant les faits qui me sont reprochés. Sa lecture et ma connaissance des coulisses de cette opération
d'exfiltration ont influencé mes décisions. _CES PERSONNES ONT-ELLES ÉTÉ POURSUIVIES ?_ Je ne crois pas. _COMMENT ÊTES-VOUS DEVENUE UNE SPÉCIALISTE DE L'UNIVERS DJIHADISTE ? _ Tout
a commencé en 2013. J'étais journaliste à RMC depuis 2000, j'avais couvert les révolutions arabes et, en France, je travaillais beaucoup sur les quartiers populaires. À cette
époque, mes sources dans ces quartiers m'ont dit que des gens partaient en Syrie, donc je me suis renseignée. En mars 2014, à force d'entendre dire qu'il était extrêmement
facile de se faire recruter pour le djihad, j'ai voulu le vérifier : je me suis créé un faux profil Facebook et j'ai reçu très rapidement trois demandes en mariage de djihadistes
qui m'attendaient en Syrie. Après cette enquête, j'ai reçu ma première vague de menaces de mort de la part de Daech, dont des djihadistes qui viendront un an et demi plus tard
attaquer Paris. _QUI VOUS A MENACÉE ? _ Des gens de Daech, dont plusieurs auteurs des attentats du 13-Novembre. J'ai reçu en parallèle des messages de femmes qui me disaient _«
J'ai vécu la même chose, je suis piégée »_, ou_ « J'ai été recrutée de la même manière, et j'en suis heureuse »_, et j'ai commencé à entretenir tout un réseau de sources
sur place, ce qui aboutira au livre _Un parfum de djihad _(Plon, 2018), cosigné avec ma consœur Édith Bouvier. _AVEZ-VOUS DÉVELOPPÉ UNE PROXIMITÉ IDÉOLOGIQUE AVEC CES SOURCES ? _ Non,
jamais. Quand on est journaliste, qu'on parle à des gens et qu'on leur demande comment ils vont, ce n'est pas de la proximité, c'est notre travail. Et pour que
quelqu'un vous parle, il faut donner un peu de vous-même. Je travaille une matière humaine. _À L'AUDIENCE, EN PREMIÈRE INSTANCE, LE PROCUREUR A SUGGÉRÉ QUE VOUS ÉTIEZ « UNE INDIC
». _ C'était très choquant. Il a dit ça quand j'ai rappelé que mes livres et mes enquêtes avaient très souvent été utilisés par la justice antiterroriste, qu'à plusieurs
reprises les services de renseignement m'avaient demandé de l'aide après la publication d’enquêtes, notamment sur les Yézidis, et qu'en 2019, avec Édith Bouvier, nous avons
récupéré à Raqqa un livre de comptes contenant près de 500 noms de djihadistes. Ramener ces documents en France, ce n'est pas être une indic, je ne demande rien en retour, je participe
juste à la manifestation de la vérité. _QUELS RAPPORTS ENTRETENEZ-VOUS AVEC LES SERVICES DE RENSEIGNEMENT ?_ Quand les services de renseignement me sollicitent après avoir lu un article pour
que je vienne confirmer mes informations dans un procès-verbal, j'accepte, parce que c'est utile pour les procédures, mais sans jamais dévoiler mes sources, et sans rien demander,
sans rien attendre en retour. _« UN JOURNALISTE DIGNE DE CE NOM NE CONFOND PAS SON RÔLE AVEC CELUI DU POLICIER OU DU JUGE », STIPULE __LA CHARTE D'ÉTHIQUE DES JOURNALISTES__… NE
SORTEZ-VOUS PAS DE VOTRE RÔLE ? _ Non, parce qu'il est ici question de sûreté de l'État. Si je n'avais pas rapporté les documents trouvés à Raqqa, j'aurais pu être
poursuivie pour entrave à la manifestation de la vérité. Et si un attentat avait lieu demain, et si l'on découvrait que je n'avais rien dit alors que j'étais au courant de sa
préparation, je serais poursuivie pour non-dénonciation de crime. _SELON VOUS, LE TERRORISME A-T-IL CHANGÉ LES CONDITIONS D'EXERCICE DU JOURNALISME ?_ Bien sûr, tout comme il a changé
la justice. C'était une période historique, où nos comportements usuels ne semblaient plus tout à fait adaptés. Au procès des attentats du 13-Novembre, des enquêteurs de la DGSI sont
venus raconter combien cette période était folle et combien elle les a abîmés. C'est exactement ça. _QUEL REGARD PORTEZ-VOUS SUR LA MÉDIATISATION DE VOTRE HISTOIRE ?_ Évidemment, je ne
m'attendais pas à un traitement de faveur parce que je suis journaliste. Mais je n'ai pas compris que des confrères, alors qu'ils n'en avaient aucune obligation, révèlent
mon nom. En 2018, pendant mes 55 heures de garde à vue, _Valeurs actuelles_ a balancé mon nom, ce qui a déclenché une vague de menaces provenant de l'extrême droite et de Daech. Les
médecins qui m'ont examinée m'ont prescrit 45 jours d'ITT (incapacité totale de travail) pour trauma psychologique profond. En 2024, à l'issue du jugement, mon nom a de
nouveau été publié, alors que ce n'est pas l'usage lors d'un procès en correctionnelle. Et surtout, je n'ai pas compris cette chronique de Philippe Val, sur Europe 1,
qui, trois jours après le jugement, a lancé une meute numérique à mes trousses. _DANS __CETTE CHRONIQUE__, L'ANCIEN DIRECTEUR DE FRANCE INTER ACCUSAIT CETTE STATION D'AVOIR
EMBAUCHÉ « UNE JOURNALISTE DE MEDIAPART, CÉLINE MARTELET [...] QUI AURAIT DES LIENS AVEC DAECH », POUR RÉALISER UN REPORTAGE EN SYRIE..._ J'avais complètement oublié l'existence de
Philippe Val quand les notifications ont commencé à pleuvoir sur mon téléphone. J'ai eu l'impression qu'il m'utilisait pour régler ses comptes avec Edwy Plenel et France
Inter. C'était à la fois bizarre et violent, sachant que Philippe Val, en tant qu'ancien de _Charlie Hebdo_, sait ce que c'est que de vivre sous la menace. Pendant les quinze
jours qui ont suivi, j'ai reçu des menaces de mort sans discontinuer et je sais que certains auteurs de ces menaces ont trouvé l'adresse du domicile où je vis seule avec mes deux
enfants. _QUELLE A ÉTÉ VOTRE RÉACTION ?_ Je suis restée sidérée. Des consœurs et des confrères m'ont aidée à faire des captures d'écran de toutes les menaces reçues pour initier
une procédure contre leurs auteurs. Mais j'étais incapable de réfléchir. Je regrette de ne pas avoir déposé plainte contre Philippe Val pour mise en danger de la vie d'autrui.
J'étais tétanisée. Je me suis effondrée quelques mois plus tard. Aujourd'hui, avec le recul, et grâce à des séances régulières avec un thérapeute, je peux dire que c'est un
profond traumatisme, une blessure invisible. Des séances d'EMDR [une psychothérapie par mouvements oculaires qui cible les mémoires traumatiques des individus, NDLR] m'aident à
digérer les émotions ressenties à l'époque. Mais il reste encore des traces. _AU MOMENT DU PROCÈS, VOUS ÉTIEZ PIGISTE POUR DIFFÉRENTS MÉDIAS. COMMENT VOS EMPLOYEURS ONT-ILS RÉAGI ?_ Dès
le départ, certains m'ont dit : _« On te soutient. »_ D'autres m'ont lâchée après la chronique de Philippe Val, en m'expliquant qu'ils savaient bien que je
n'avais pas financé le terrorisme mais que leur image était écornée et qu'ils étaient à leur tour attaqués par l'extrême droite. _VIVEZ-VOUS ENCORE DE VOTRE MÉTIER ?_ Oui.
J'ai mis du temps à me le dire, mais je pense que je suis une bonne journaliste et que mon travail sert l'intérêt général. N'importe quel pigiste qui propose un sujet à un
média est un peu stressé et redoute qu'on ne lui réponde pas. Moi, je sais que des éléments parasites apparaissent quand on googlise mon nom. Parce que je me suis préparée à peut-être
devoir arrêter ce métier, je mesure ma chance de pouvoir continuer à travailler pour l'hebdomadaire _Politis_, récemment pour la revue _La Déferlante_, pour la RTS (Radio télévision
suisse), pour le site _Heidi.news_, pour le quotidien libanais _L'Orient-Le Jour_… _QU'ATTENDEZ-VOUS DU PROCÈS EN APPEL ?_ J'ai laissé trop longtemps l'extrême droite
prendre le contrôle du récit de ce qui s'est passé. Certains confrères continuent à me demander : _« T'as donné combien ? », _alors que je n'ai jamais donné d'argent. Je
veux reprendre le contrôle du récit et réhabiliter mon image journalistique. Certes, j'ai commis un délit d'humanité, mais je n'ai porté préjudice à personne, je n'ai pas
mis en danger la sûreté de l'État, j'ai juste voulu que des enfants échappent à une mort certaine. _QUE SONT-ILS DEVENUS ? _ Quatre d’entre eux sont en France, ils sont
scolarisés, ils vont bien. _ET VOUS, COMMENT ALLEZ-VOUS ?_ Je vais régulièrement sur des zones de conflits, j'ai déjà été menacée par des armes, il y a quelques semaines encore, en
Syrie, on m'a tiré dessus — tout ça, je sais le gérer. Mais être menacée de mort en France pour avoir fait mon travail, c'est une tout autre violence. C'est très dur. Je tiens
grâce au soutien de consœurs et confrères qui ont fait l'effort d'examiner les faits. Et grâce à ma chienne, Ava. Elle est née en Ukraine, sur la ligne de front, et elle
m'entraîne dans de longues marches en forêt qui me sauvent.
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