Municipales 2026 à orléans : entre tensions et ambitions, l'union de la gauche aura-t-elle finalement lieu?

Des secousses fragilisent la gauche orléanaise ; elles se sont intensifiées ces derniers jours. Des conférences de presse, des petites phrases, des communiqués ont confirmé que la campagne

des élections municipales 2026 accapare les esprits. Les partis, aussi. Et que les grands rêves d’alternance à l’ère Serge Grouard – le maire divers droite (ex-LR) d’Orléans élu depuis 2001

(excepté la parenthèse Olivier Carré entre juin 2015 et juillet 2020) – seraient escortés de cauchemars pour imaginer une union à gauche. PREMIER COUP DE GUEULE Les contours de cette

alliance n’ont pas résisté aux annonces du 29 novembre dernier et la création de Maintenant Orléans ! Un collectif promettant un destin commun au Parti socialiste, à La France insoumise, à

Génération.s et au Parti communiste français. Premier coup de gueule : celui, dans nos colonnes, de Jean-Philippe Grand (EELV), ancien président d’OSE (Orléans solidaire et écologique).

"Cette conférence m’a mis en colère. Une poignée de socialistes et de communistes sont pris en otage par LFI qui veut plaire à une frange de la population qui exclut les autres. C’est

une machine à perdre. Moi, je veux une liste de gauche ouverte pour tous les Orléanais. Nous sommes là pour eux et je ne veux pas que l’on fasse des accords avec les partis."