L'exemple de l'IndyCar

Les récents accidents qui ont vu des F1 partir en tonneauxposent question quand à la sécurité des Grands Prix.

Même si les cabrioles de la Sauber d'Esteban Gutiérrez (après uncontact avec la Lotus de Pastor Maldonado) à Bahreïn et de laWilliams de Felipe Massa (expédiée dans les airs par la McLaren

deKevin Magnussen) à Hockenheim n'ont pas eu de conséquencesfâcheuses, la FIA pourrait se pencher sur leurs origines.

A cet égard, l'installation de pare-chocs comme c'est le cas enIndyCar (et bientôt en Formula E) constituerait une bonne réponseau problème.

Depuis 2012, les Dallara d'IndyCar sont dotées de tellesprotections afin d'empêcher, lors d'un contact entre deuxmonoplaces, qu'une voiture ne décolle. Sur les pistes ovales - lessuper

speedways en particulier - où les vitesses de pointe flirtentavec les 400 km/h, cet ustensile a fait ses preuves. On imaginequ'un tel accessoire aurait évité à la Red Bull de Mark Webber

dedécoller à Valence en 2011, après avoir mal jugé le repère defreinage de Kovalainen devant lui.

De tels miracles se sont déjà produits, mais la responsabilitédu législateur est d'anticiper les drames et de s'inspirer desolutions éprouvées. Bien sûr, l'apparition de pare-chocs sur lesF1

ferait hurler les puristes et engendrerait son lot dedéveloppements aérodynamiques. Ne dit-on pas que la sécurité n'apas de prix ?

Découvrez les girlfriends des pilotes de Formule 1dans notre galerie en cliquant ici.

Suivez l’actu F1 en temps réelavec F1i sur Facebook et Twitter !

Commenter